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Passion Pit


Axwell

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Le deuxième album de Passion Pit, intitulé "Gossamer", ne verra le jour que le 24 juillet prochain, mais le groupe l'a déjà mis en écoute sur le web. Histoire de contrer à sa façon la fuite des titres sur la toile...

Musicalement, les Américains de Passion Pit se situent dans une lignée de groupes tels que MGMT. Une pop colorée, un peu barrée, aux lignes mélodiques marquées, parsemée ça et là de petites étrangetés. Une ambiance joyeuse qui cache en réalité des textes moins heureux qu'il n'y paraît : "Mes chansons, malgré leur joli enrobage de sucre, sont des pustules pleines de douleur, de haine de soi, de narcissisme." précise le chanteur, Michael Angelakos (voir article ci-après). A bon entendeur !

Personnellement, les premières écoutes de ces 12 titres m'ont emballé. Un bon album en prévision pour les vacances ! :happy:

Deux titres de l'album ont déjà bénéficié d'un clip :

 

TAKE A WALK (pour ceux qui ont toujours rêvé d'être une petite balle bleue bondissante)

 

 

I'LL BE ALRIGHT (pour ceux qui ont toujours rêvé d'embrasser à pleine bouche une oeuvre d'art dans un musée)

 

 

Voici également un article publié par Les Inrockuptibles à l'occasion de la sortie de leur premier album, "Manners" :

 

Citation

Après MGMT lan dernier, lAmérique psychédélique et bariolée offre un nouveau miracle pop avec ce groupe débarqué du Massachusetts.

Lors dun entretien accordé à loccasion de la sortie de Manner, le premier album de son groupe Passion Pit, Michael Angelakos expliquait : Mes chansons, malgré leur joli enrobage de sucre, sont des pustules pleines de douleur, de haine de soi, de narcissisme. Belle manière de résumer lambivalence de sa musique : si la pop de ces Américains rêvasseurs est rigolarde dans la forme, cest pour mieux cacher le spleen de son auteur en chef. Entre psychédélisme suave, electronica onirique et pop sautillante, une poignée de morceaux avaient suffi à provoquer, dès 2008, un coup de foudre immédiat : après MGMT et Yeasayer, les petits gars de Passion Pit, originaires de Cambridge dans le Massachusetts, semblaient à leur tour proposer lalternative américaine idéale à lindie rock laborieux made in UK.

Défi relevé haut la main en 2009 avec un premier album éclatant, plein comme un oeuf de textes cinglés, et dont la largesse et la flamboyance sonores laissent deviner aussi bien un amour pour la pop traditionnelle, des Beach Boys à David Bowie, quun véritable béguin pour les plus modernes bidouilleurs electro, de Daft Punk à Justice. Gagas de vieux synthés vintage, geeks jusquau bout des polos, les cinq gandins de Passion Pit semblent ainsi passés maîtres dans lart doffrir à la pop des désirs davenir, et de la jouer comme on joue une partie de Tetris : de Make Light à Sleepyhead, ce sont cinq décennies de mélodies rieuses et de rythmes sensuels qui se fondent joyeusement dans une belle cérémonie orgiaque.Naïve mais jamais nigaude, la musique de ces gaillards rend euphorique quoi de plus normal quand on la sait capable de faire sortir la tête de leau à son torturé dauteur.

Si je nécris pas, je suis très malheureux. Au moins, quand jécris, je suis juste malheureux. La légende raconte quAngelakos avait composé les morceaux du premier maxi Chunk of Change pour reconquérir le coeur dune fille à la Saint-Valentin : hommes et femmes réunis peuvent désormais fêter lamour avec lui tous les jours.

Source : http://www.lesinrocks.com/musique/critique-album/manners/

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Un nouveau clip, pour le single "Carried away" (le titre que je préfère sur l'album, ce qui tombre bien !)

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