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LFW_Hot_Chip.png



Le nouvel album de Hot Chip sort demain officiellement (certains magasins ont commencé la mise en place samedi). Il s'intitule "In our heads" et bouge plutôt bien.

Je découvre ce groupe avec cet album et le titre "Flutes" qui m'avait vraiment plu (premier single, suivi de "Night & day", très bon aussi).

Niveau singles, pour cet album, nous avons :
- 1 maxi 12" pour "Flutes" (Version originale / version instrumentale)
- 1 maxi 12" Edition Limitée monoface pour "Night & day" (Daphni Mix) sorti à l'occasion du Record Stores Day.
- 1 maxi 12" pour "Night & day" (Version originale / The 2 Bears Feat. Trim Edit / Jelly Babies)


hot-chip-in-our-heads.jpg

 

Flutes

 

 

Night & day

 

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Je te souhaite une bonne découverte de ce groupe Axwell car il s'agt de leur 5ème album après ces 4 là :

Coming on Strong 2004

Image postée

The Warning 2006

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Made In The Dark 2008

Image postée

One Life Stand 2010

Image postée

Quelques extraits :

http://www.youtube.com/watch?v=1mdgLn5BFRQ

http://www.youtube.com/watch?v=z3uqjuOg8xw

Modifié par captain
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Merci Captain !

Je débute en Hot Chip, effectivement. Et comme fait exprès, je suis tombé totalement par hasard sur une émission de Direct Star samedi qui leur était consacrée (interview entrecoupée de clips), tard dans la soirée. Ca parlait aussi d'autres artistes/groupes proches de leur univers.

Une bonne façon d'approcher Hot Chip.

Et avec toute la presse qui leur est consacrée actuellement, la séance de rattapage se fait en accéléré ! :D

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La petite revue de presse...

Pourquoi ? Pourquoi Metronomy et pas Hot Chip ? Avec une régularité de… métronome, nos laborantins, héritiers sur les pistes de danse de Devo, délivrent tous les deux ans depuis 2004 un nouvel album. Celui-ci, le premier post-EMI des champions londoniens electro pop, déborde une fois de plus de trouvailles, et c'est peut-être ce qui déroute le grand public. Il serait pourtant dommage de se priver de ce trop-plein, parfois tellement années 80 qu'il en devient perturbant. Nul “revival” ici, juste une sincérité pop qui intègre un Look At Where We Are tire-larmes digne de Boyz II Men ou un Now There Is Nothing réminiscent du peu recommandable Chris de Burgh, voire les chœurs pompiers de Let Me Be Him. Le tout au milieu d'une avalanche de titres plus enlevés les uns que les autres (How Do You Do, Don't Deny Your Heart, These Chains) après Motion Sickness en ouverture, digne du Violator de Depeche Mode.

Reste l'énigme, la seule qui vaille : dans cette usine à tubes potentiels, comment se fait-il que les sept minutes de Flutes semblent condamnées face à la concurrence ? Hors format ? Mais quel(s) format(s) ? Le MP3 n'a pas seulement mis à mal les notions d'albums et ses extraits successifs, il a également tué l'idée de tube comme Hot Chip ou nous-mêmes avons eu la chance de le connaître. Heureusement, pour chasser nos idées noires, comme dans le single Night And Day (au point de faire rimer “Abba” avec “gabber”), Hot Chip réussit le tour de force de ranimer les Pet Shop Boys impériaux de Very sur Ends Of The Earth. Le monde est absurde, alors autant le chanter jusqu'à son dernier souffle. Dans les cinq cerveaux de Hot Chip, à l'image de ce nom qui réunit sensation et technologie, pas question de choisir entre Kraftwerk et Prince, fromage et dessert, cafés ou pubs. Schizo et maso, voilà un groupe idéal pour la maison Domino.

Source : MagicRpm

http://www.magicrpm.com/a-lire/chronique/hot-chip/in-our-heads

Le changement dans la continuité pour Hot Chip qui sort son cinquième album, In Our Heads, pour la première fois chez Domino. Au milieu de ce tourbillon créatif, composé de textures et de chants de moines bouddhistes, de la tuile de Conny Plank et des pantalons transparents de John Foxx, on croise Will Oldham et Justus Köhncke, Prince et Brian Wilson. Rencontre avec le chanteur Alexis Taylor et le claviériste Owen Clarke, soit deux des cinq têtes pensantes du productif groupe anglais. [interview Alexandre Cognard].

IN OUR HEADS

Owen Clarke : Nous rencontrons souvent des difficultés pour intituler nos albums. Il n’y a pas de plan ou de thème prédéfini, c’est après coup qu’un titre nous semble évident. Auparavant, on avait l’habitude de reprendre le titre d’une des chansons, qui résumait bien l’esprit général du disque comme The Warning (2006), Made In The Dark (2006) ou One Life Stand (2010). Cette fois, nous avons pioché dans les paroles du dernier morceau, Always Been Your Love, qui parle d’introspection, d’amour et des relations sentimentales. In Our Heads renvoie à l’idée d’un espace sonique qui sort de notre tête pour mieux rentrer dans celle de l’auditeur. Motion Sickness, en ouverture, aborde d’ailleurs cette thématique des têtes qui tournent.

Alexis Taylor : Quand tu écoutes l’album, tu te sens invité à pénétrer ce monde particulier que nous essayons de construire sur disque.

DOMINO

AT : Les albums de Palace, Smog ou Royal Trux étaient primordiaux lorsque nous avons commencé à enregistrer avec Joe Goddard sous le nom de Hot Chip. Will Oldham demeure une grande source d’inspiration pour moi, il a d'ailleurs chanté sur une version de I Feel Better (ndlr. rebaptisée I Feel Bonnie), un single de notre précédent LP. Ma passion pour ces artistes m’avait poussé à travailler pour Domino Records à la sortie de l’université. Après avoir quitté le label, nous continuions à nous voir, parler musique et assister à des concerts ensemble. Rester en contact pendant toutes ces années et y signer About Group, l’un de mes autres projets, a naturellement débouché sur la signature de Hot Chip chez Domino. C’est la maison de disques dans laquelle j’ai toujours voulu être.

OC : Nous avons été tellement déçus par la manière dont EMI a évolué, avec toutes ces personnes de qualité avec lesquelles nous étions en contact et qui sont parties les unes après les autres.

CONNY PLANK

AT : Conny Plank a construit la console d’enregistrement sur laquelle a été enregistré et mixé In Our Heads. Après sa mort, en 1987, sa veuve et son fils ont vendu tout son équipement aux enchères, c’est David Allen et Mark Ralph qui l’ont acquis pour leur studio londonien. J’ai beaucoup écouté les disques de Conny Plank et lu à son sujet, histoire d’étudier sérieusement son travail de producteur que je connaissais surtout à travers les disques de Kraftwerk et de Neu!. L'intérêt du studio réside tout autant dans cette fameuse console que dans le fait de bosser avec Mark Ralph, qui est un ingénieur du son incroyable. Je ne pourrais dire si cet album sonne ainsi grâce aux canaux de la console ou grâce à notre façon de jouer les instruments. C’était tellement libérateur de vivre cette expérience physique de tourner des boutons et de pousser des curseurs plutôt que de regarder un écran d’ordinateur.

OC : Nous pouvions aller plus loin dans la structuration des choses, anticiper et être stimulés visuellement. De son vivant, Conny Plank avait posé une sorte de tuile sous la console pour absorber les mauvaises vibrations du studio. Depuis sa disparition, la tuile est restée au même endroit !

PRODUCTION

AT : Nous n’avions pas de concept précis pour ce cinquième LP, mais plutôt des idées disparates. Par exemple, j’ai toujours voulu collaborer avec Lizzi Bougatsos, la chanteuse de Gang Gang Dance. On a utilisé sa voix comme chant principal ainsi que sous la forme de vocaux parlés. De son côté, Joe a samplé un chant de moines bouddhistes vieux de deux mille ans, et j’ai écrit les paroles qui suivaient la rythmique obtenue sur Flutes.

OC : En réponse au sample de Flutes, nous avons fait des coupes et réalisé quelque chose de plus mécanique sur Let Me Be Him, en utilisant l'enregistrement d’une classe d’écoliers suédois trouvé sur Internet. En accélérant et en ralentissant les bruits d'un bébé de huit mois, Joe a obtenu la partie mélodique de These Chains.

AT : Ce processus d’échantillonner et d’accélérer les voix est ce qui nous intéresse le plus dans la production de nos disques. Sur Night & Day, le premier single, on a travaillé avec les mêmes effets qu’utilisait Prince à la fin des années 80. Il est important de porter attention aux détails en musique, mais également de rechercher la mélodie la plus simple et élégante. En combinant le tout, on découvre les différents niveaux de lecture d’In Our Heads attentivement.

DÉMOCRATIE

OC : L’écueil du groupe démocratique, c’est que cela peut fonctionner et déboucher sur une jam session !

AT : Avec l'expérience, nous avons appris à reconnaître ce que chaque membre sait faire de mieux. Al Doyle est ainsi très fort pour jouer des parties de guitare à la Nile Rodgers. Chacun amène sa différence, et en général chaque chanson est menée à son terme par celui qui l’a écrite, dans la direction désirée.

OC : Ce n’est pas la démocratie : chacun a le droit de ne pas s’investir. Ou de jouer ce qu’il veut.

PROJETS ANNEXES

AT : Avec About Group, l’un de mes autres projets, nous voulions sortir un disque de musique improvisée pour le label Treader. À la faveur des concerts, nous sommes devenus un vrai groupe. Le deuxième album, Start & Complete (2011), n'était pas juste un concept, il contenait de vraies chansons, et nous venons tout juste d’achever le troisième. Avec Rob Smoughton, alias Grovesnor, j'ai également fondé B&O (ndlr. anciennement Bang & Olufsen), ainsi rebaptisé pour éviter tout ennui judiciaire avec la marque. Ce ne sont que des reprises, mais totalement différentes des originales. Je collabore aussi avec Justus Köhncke pour quelques DJ sets et autres enregistrements. J’apprécie notre travail en commun, il est très créatif.

SUCCÈS

AT : Nous n’avons pas tant de succès que ça, même en Angleterre.

OC : L'impact de Hot Chip est relatif. Nous n'avons jamais eu de tube international, ce qui est plutôt sain : nous pouvons ainsi continuer à créer selon nos envies. Nous sommes connus dans certains pays, moins dans d'autres. Ces différences géographiques ne s’expliquent guère. Metronomy a un succès énorme en France et en Angleterre, mais c'est comme à l'époque où The Infadels était très populaire en Hollande et beaucoup moins ailleurs !

AT : Quand nous jouons en France, nous aimons regarder le public dans les yeux et voir si les spectateurs passent un bon moment. Je ne me suis jamais posé la question de savoir pourquoi nous étions plus connus dans un pays plutôt qu’un autre. C'est une expérience différente chaque soir, de rencontrer toutes ces personnes, de visiter toutes ces salles de concerts. Nous avons de grands souvenirs devant un petit parterre de spectateurs dans l'Est de la France autant qu'à Sheffield. En Angleterre, c’est un peu démoralisant car à cause de la crise de l'industrie musicale, les salles sont rachetées par les mêmes sponsors et finissent par se ressembler.

MAINSTREAM

AT : J'ai été historiquement influencé par la musique commerciale, mais les groupes qui sont actuellement en haut des charts ne me touchent guère. Hot Chip a été classé dans le Top 10 en Angleterre avec Ready For The Floor en 2008, mais ça reste une exception. Nous sommes à la fois dans le mainstream et en dehors. La musique pop nous intéresse évidemment. Il y a eu un âge d'or avec les productions de Timbaland ou des Neptunes, mais à force de répéter toujours la même formule, le filon s'est tari. Et désormais tout le monde s’engouffre dans cette sorte de transe hip hop.

NEW ORDER

OC : Des parallèles existent entre New Order et Hot Chip pour le côté pop et la face électronique, ce sont des comparaisons bienvenues. Nous avons même travaillé ensemble (ndlr. sur le morceau Didn't Know What Love Was pour Converse avec Bernard Sumner et Hot City en 2010).

AT : J’adore New Order, mais aucun des albums ne m’a jamais profondément influencé lorsque je créais ma musique. Avec le temps, j’ai pris conscience qu’il y avait un terreau commun entre les deux groupes, et toute comparaison me semble flatteuse. Mais nous n’avons jamais essayé d’être les nouveaux New Order. Il y a des valeurs fondamentalement différentes dans la production. Celle de New Order est beaucoup plus anguleuse et sonne résolument anglais. Le jeu de batterie de Stephen Morris est très motorique, à la différence de nos programmations. Dans Hot Chip, tout n’est que polyrythmies, boucles de percussions, mélodies de synthétiseurs ou guitares électriques, avec des références à Curtis Mayfield et à la soul.

OC : Une sensibilité commune mais des valeurs différentes.

AT : Je ne pense pas que Ready For The Floor puisse jamais concourir avec Blue Monday.

OC : Nous n'avons pas perdu d'argent avec Ready For The Floor !

AT : Blue Monday est l’un des meilleurs maxis jamais publiés. Sans parler de son importance capitale pour le graphisme, la culture du clubbing et tout ce qui gravitait autour de Factory Records : l’Haçienda, Happy Mondays, etc.

CARRIÈRE

AT : Nous espérons continuer longtemps en nous améliorant, et surtout qu'il y aura toujours suffisamment de personnes pour nous écouter. Je ne pense jamais en termes de pertinence, mais de motivations à trouver de nouvelles propositions musicales pour la prochaine chanson que je veux composer. Avec le temps, les interviews se passent de mieux en mieux et il me semble que les journalistes nous comprennent enfin.

ALLURE

OC : Nous n'avons jamais réfléchi à une esthétique collective, et chacun fait ce qu'il veut. Cela vaut seulement le coup si l'on contrôle l'ensemble. Je me rappelle d'une vieille pochette d'Ultravox, quand John Foxx était encore de la partie, en tenues transparentes de PVC avec des pantalons très moulants qui laissaient deviner leurs sexes. Nous nous fichons d'être cool, c'est tellement conventionnel de vouloir être cool.

AT : Sur scène, nous étions alignés à nos débuts car nous avions peu d'instruments, et cela donnait une identité visuelle forte. Mais c'était une barrière physique car il était difficile de jouer de la guitare à côté du synthétiseur. Désormais, avec notre équipement de plus en plus imposant et coûteux, c'est différent et beaucoup plus pratique ! (Rires.) Les groupes les plus intéressants à mes yeux comme Royal Trux, Spiritualized, Devo, Palace Music, Smog sont ceux qui permettent aux fans de musique de disséquer ce qui se passe sur scène, les expressions du visage, le jeu des musiciens.

OC : Pas encore de pyramide pour Hot Chip ! Nous préférons jouer en nous regardant dans les yeux.

AT : Ni de stroboscopes comme The Chemical Brothers ! Les gens veulent nous voir jouer de la batterie et compagnie, c'est pourquoi nous nous concentrons sur la musique, et seulement sur la musique.

Source : MagicRpm

http://www.magicrpm.com/a-lire/interview/hot-chip/entrevue-06-06-12

On les avait enterrés avec leur précédent album, One Life Stand, plus downtempo qu’à l’accoutumée, voire selon certains, carrément léthargique. Un peu trop vite peut-être. Désormais revenue de ses side-projects respectifs, la bande à Alexis Taylor et Joe Goddard signe son cinquième album, In Our Heads. Son premier sur le label Domino, qui n’a jamais autant sonné comme… DFA. On reconnaîtra à Hot Chip cet indiscutable talent : celui de redéfinir le kitsch. Dans son sens le plus péjoratif, le kitsch est un revival suranné de la période eighties, auquel les ingrédients les plus racoleurs viennent se greffer. Exemples à l’appui, lorsque le groupe quitte le dancefloor pour la chambre à coucher, on frôle allègrement le très mauvais goût. Sur quelques-uns de leurs hymnes mielleux, les violons que l’on croyait définitivement bannis de la pop reviennent à la charge (“Always Been Your Love”) au point que l’on croit parfois assister à une prestation de Sean Lennon (“Now There is Nothing”). Pire, on imagine facilement Chris Martin chanter les “wohowoho” de “Let Me Be Him” lors d’un concert de Coldplay au stade San Siro. Oui mais voilà, ce disque est d’abord et surtout une succession de hits surpuissants (“Flutes”, “Motion Sickness”, “These Chains”, “Night And Day”, “Ends Of The Earth”). Des ritournelles aux couleurs improbables s’entrecroisent, allant chercher à gauche du côté de la deep house ou à droite du côté du funk, peu importe, le kitsch n’est soudain plus si grossier. On reconnaît même un peu de Quincy Jones dans la production de Mark Ralph sur le potentiel single “Don’t Deny Your Heart”, descendant tant attendu de “Ready For The Floor”. L’excentricité qui avait un temps frôlé l’encéphalogramme plat semble revivre. Il n’en fallait pas plus pour que Hot Chip réincarne le cool. Les cinq magiciens londoniens signent même une petite perle R&B, “Look At Where We Are”. Le temps de ces onze chansons, on pourrait bien leur reprocher tous les maux de la musique. Cependant une chose est sûre, ce groupe est à l’électro-pop ce que le baroque est au rococo. Hot Chip a repris sa place. (David de Araujo)

Source : Tsugi

http://www.tsugi.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=7048&Itemid=9

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Nouvel extrait de l'album "In our heads" (qui n'aura jamais si bien porté son nom !), le clip de "Look at where we are" vient d'être publié.

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Ajout de 5 nouveaux pressages sur le site ^^

==> Discographie.png

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whymakesense.jpg

Le 18 mai 2015 sortira le sixième album de Hot Chip, Why make sense?

Un procédé d'impression unique permettra de créer une pochette avec 501 tonalités de couleurs différentes:

http://dominorecordco.com/whymakesense/artwork/

Une édition limitée de l'album sera accompagnée d'un EP supplémentaire de 4 titres.

Deux premiers extraits ont déjà été dévoilés à ce jour :

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