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Barbara Carlotti


Axwell

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Le troisième album de Barbara Carlotti, "L'amour, l'argent, le vent" est sorti il y a un mois.

Les deux précédents ayant recueilli un succès d'estime plus que public, celui-ci ouvre une nouvelle popularité à l'artiste : inscrit dans la tradition d'une variété française attentive aux textes, aux arrangements et à la production, "L'amour, l'argent, le vent" est en effet escorté par des critiques globalement enthousiastes.

 

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Le mot de l'éditeur :

Auteur-compositrice, curieuse, drôle, passionnée, Barbara Carlotti est une voix unique dans la chanson, capable de frissonner ou de tempêter, sans cesse entre lhumour et lémotion, la légèreté et la gravité. Ce troisième album, Lamour, largent, le vent, est tout entier scandé par un maître mot : le mouvement. Un disque demportements, intrépide et vivant... Lamour, largent, le vent redéfinit les contours de la chanson.

« Le retour de la plus distinguée des chanteuses françaises avec un troisième album grandiose et romanesque, dune beauté souvent intimidante» Christophe Conte / Les Inrocks

 

1er single : "L'amour, l'argent, le vent"

Edité en 45 tours à l'occasion du Disquaires Day 2012

BARBARA-CARLOTTI-cover.jpg

 

2e single : "Mon dieu, mon amour" en duo avec Katerine

 

 

Citation

Barbara Carlotti : vertiges de lamour

 

Mûri pendant quatre ans, le nouvel album de la Française Barbara Carlotti sublime encore un peu plus sa voix grave et gracieuse avec des chansons dune profonde beauté.

 

Le troisième album de Barbara Carlotti, LAmour, lArgent, le Vent, arrive vêtu dun fourreau argent. La photo intérieure montre Barbara cheveux au vent. Et lamour dans tout ça ? Il est partout, au propre et au figuré. Au défiguré parfois, à travers lhéroïne tuméfiée de Ouais, ouais, ouais, ouais ou la femme trompée de Dimanche dautomne. Egalement lamour des belles choses, indémodables, qui irradie un disque amoureux comme létaient il y a longtemps ceux dune autre Barbara ou le premier Sanson. Un disque classique de fille moderne, triplement récidiviste en lespèce, mais encore trop cruellement confidentielle sous nos latitudes, quand ailleurs, parfois très loin, certains lont déjà statufiée en déesse frenchy but chic. Elle samuse ainsi à rappeler que son précédent album a bien marché en Nouvelle-Zélande !

Carlotti est une singulière, comme lindique son itinéraire jusquici, entamé avec un mini-album, Chansons, il y a plus dun septennat, dont certaines étapes remarquées (Cannes, Tunis) lui vaudront dêtre accueillie outre-Manche sur le prestigieux label 4AD. Cest sous cette griffe classieuse que sortiront Les Lys brisés (2006) puis LIdéal (2008), recueillant plus destime que de succès de part et dautre de lEurostar. Suivront quatre longues années de doutes toutefois bien remplies, notamment par une participation à Imbécile, la pièce chantée du Feydeau pop Olivier Libaux, un duo avec Delpech, une création radiophonique poursuivie en spectacle stimulant à la Cité de la Musique (Nébuleuse dandy) et beaucoup de dépaysements destinés à enrichir aussi bien sa fibre personnelle que sa palette musicale.

Après son Idéal baudelairien, Barbara se fait donc rimbaldienne, cherchant ailleurs ses illuminations, au Japon, en Inde, au Brésil surtout, avec en tête leffervescence tropicaliste et un irrépressible besoin daventures. Elle est servie, sur place, lorsquun jour elle est victime dun braquage à larme blanche par des gamins paumés des favelas, qui la détroussent notamment de ses carnets de notes précieusement noircis, point de départ de la chanson LAmour, lArgent, le Vent, pleine dorgueil frivole et divresse cathartique. Le piano en intro évoquera aux fétichistes I Shall Call Her Mary des obscurissimes et néanmoins merveilleux Montage (nébuleuse Left Banke, 1969) et cela na rien dinnocent.

Celle qui déjà reprenait les Zombies sur son premier album peut compter sur sa bande desthètes musiciens (Benjamin Esdraffo, Jean-Pierre Petit, Fred Pallem) pour instiller de-ci, de-là des références suprêmes puisées dans les grimoires secrets des sixties, bien que Barbara ait ici cherché à sen affranchir. Je ne suis pas bloquée musicalement sur cette période, je ne voue dailleurs aucun culte, et la musique pour moi est souvent liée à lenvie de danser. Illustration avec Quatorze ans, un jerk new-wave qui évoque les années 80 parisiennes façon Les Nuits de la pleine lune, mais transposées sous les étoiles de Corse, où elle a grandi : Je me suis souvenue de la joie qui traversait cette époque, des disques de Depeche Mode, de Soft Cell, de la manière dont Daho avait su saisir au vol cette euphorie passagère.

En contrepoint, Nuit sans lune raconte un voyage à bord dun train lancé dans le vide, prétexte à une mini-odyssée sensorielle qui révèle lautre face, plus romanesque et mélodramatique, dun album qui aime ainsi à conjuguer vestiges du passé et vertiges inconnus, influences palpables et élans insaisissables. Aux pop-songs de facture classique (Occupe-toi de moi, tube possible) répondent notamment des titres travaillés avec Villeneuve qui échappent glorieusement aux carcans du couplet-refrain (les sublimes Le Coeur à louvrage et Marcher ensemble).

En évoquant le parcours de Katerine, qui lui donne la réplique sur Mon Dieu mon amour, Barbara Carlotti brosse un possible autoportrait : Katerine a commencé à écrire en suivant son goût, maintenant il fait la musique quil a en lui profondément, il laisse parler sa musique intérieure. Dans un autre registre, jadmire Scott Walker, jaime les Walker Brothers, ses premiers albums solo, mais jadmire surtout ce quil fait aujourdhui car je pense quil sagit de son identité profonde. Il ny a que comme ça que lon peut avancer sans se caricaturer soi-même.

Source : http://www.lesinrocks.com/musique/critique-album/barbara-carlotti-vertiges-de-lamour/

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La critique de Télérama

Décors venus d'ailleurs (Inde, Japon, Brésil), duo avec Philippe Katerine : l'élégante Barbara Carlotti signe un album à la nonchalance subversive.

C'est la voix la plus élégante de la chanson d'aujourd'hui. Dense, intense, chaleureuse, capiteuse. Elle nous happe, et parfois même nous ensorcelle avec une distinction jamais prise en défaut. Cette voix-là, déjà, nous avait convaincus en 2005 avec un premier EP, un minidisque au parfum suranné qui circulait entre initiés — et dont l'un des titres, Cannes, était sorti de la clandestinité en servant de générique à une émission de Canal+. Cette voix, toujours, nous avait séduits sur les deux albums suivants (Les Lys brisés, 2006, L'Idéal, 2008), et c'est elle, évidemment, qui nous attrape encore sur celui-ci... Mais pas seulement. Contrairement aux précédentes chansons qui dégageaient un petit air d'inachevé, ces douze-ci sont totalement abouties. Aussi soignées que des pièces d'orfèvrerie. « Regarde-moi, j'ai changé », chante Barbara Carlotti. Il y a de cela, en effet.

Cette fois, cette hyper-créative qui adore enchaîner les expérimentations et les participations a pris son temps. Elle a laissé le silence et l'éloignement l'envahir, pour féconder sa pop classieuse et voyageuse. Au Japon, au Brésil, en Inde, Carlotti est partie se frotter à d'autres musiques. Ses chansons, qui restent aussi françaises qu'une robe Saint Laurent, ont capté certaines de ces sonorités, gagné une étrangeté qui les distingue. Les décors varient selon les humeurs : suspendue, dans l'intriguant Avenir, qui fait entendre un koto japonais ; tendre et apaisée dans Mon dieu mon amour, duo kitsch et charmant avec Philippe Katerine ; vengeresse, sur l'incisif Dimanche d'automne où des cloches tubulaires font sonner des envies de meurtre ; volage et obsessionnelle, dans la fascinante Nuit sans lune qui rappelle Station to station, de David Bowie, mais dans laquelle résonne aussi l'écho inattendu d'un sitar...

Où est Barbara Carlotti ? Dans la vie, le danger, le mouvement. Elle balance sans cesse entre une légèreté quasi enfantine et des fureurs adultes, s'oublie dans la danse, chante les nuits (beaucoup), les insomnies (un peu), les excès (souvent). Son disque est empli d'une nonchalance subversive. L'Amour, l'argent, le vent, morceau d'ouverture qu'on pourrait bêtement rapprocher du Sea, sex and sun de Gainsbourg, évoque en fait tout autre chose : un incident réel qui aurait pu virer au drame. Barbara Carlotti en fait un titre incandescent, emblématique des autres. Chansons de feu.

Source : http://www.telerama.fr/musiques/l-amour-l-argent-le-vent,79691.php

et celle du Monde

Barbara Carlotti est venue, a vu, a vaincu

Par Véronique Mortaigne

Elle porte une cape noire, elle est blonde, grande. La sophistication est dans le détail d'un rouge à lèvres carmin à l'orangé léger ou dans une chaussure anachroniquement dorée. Ce qui prend immédiatement à bras-le-corps, c'est la voix. Le registre, grave ; le ton, capiteux - sourire large, attentif et distant.

Pour être chanteuse, dit-elle, "il faut travailler sa voix", une évidence parfois mise à mal par les incertitudes formelles de la pop. Barbara Carlotti vient de publier son quatrième album, L'Amour, l'Argent, le Vent, douze chansons écrites au cordeau, composées lors d'un voyage triangulaire - Brésil, Japon, Inde -, voyage d'influences, tour d'observation dans un monde troublé par les trois vocables du titre, à traduire soit par jalousie, braquage et inconstance, soit par désir, aisance et espace. Avec Barbara Carlotti, on a le choix.

Que n'a-t-on pas dit d'elle à la publication des Lys brisés, en 2006 ! Nouvelle Françoise Hardy, nouvelle Nico ! Elle est alors la première chanteuse française à intégrer le label de rock britannique 4AD, celui des Pixies. Des Lys brisés, il restera un style, deux chansons magnifiques, Cannes, cinématographique, qui servira de générique de fin au "Grand Journal" de Canal+ pendant le festival, et Tunis, chantée avec une émotion de femme fatale.

On découvre alors qu'elle possède la faculté d'écrire avec légèreté sur des sujets graves, dans la grande tradition française, et qu'elle porte en elle la science des amants et de l'ironie des sorts. En 2008 paraît L'Idéal, toujours chez 4AD-Beggars. Pop élégante, et double filiation revendiquée : d'abord "Etienne Daho, et tous ceux qui regardaient vers la pop anglaise, avec un penchant pour les punks et leur façon de vivre dans le présent. Daho parle de l'instant hyper bien. Et puis il y a eu Brigitte Fontaine, de l'époque Brigitte Fontaine est folle, avec Jean-Claude Vannier".

Il faut vivre

Les ventes n'accompagnent pas la couverture médiatique ni la reconnaissance de la profession (prix Constantin, Académie Charles Cros) ; 4AD se déstructure avec la crise du disque. Barbara Carlotti revient au point de départ, privée de maison de disques comme au temps de Chansons, des standards du jazz enregistrés en autoproduction en 2002 avec le pianiste et organiste Raphaël Colignon, récupéré ensuite par le label Microbe, créé par le musicien Mr Neveux.

Il faut vivre, Barbara fait de tout : manager, attachée de presse, médiatrice culturelle. Elle étudie la musicologie, le jazz, le lyrique. L'envie d'école a tardivement rattrapé l'ex-adolescente rebelle des "eighties" - description des fugues vers les dance-floors dans la nouvelle chanson Quatorze ans.

Double, Barbara Carlotti est née en 1974 à Clamart, "l'une des localités rouges du 9-2, avec Montrouge ou Vanves. Une banlieue calme, un peu coupée du reste, assez impersonnelle, de petits pavillons avec des cochons d'Inde dans le jardin". Son père est corse, de Poggio-di-Venaco (Haute-Corse), "l'un de ces villages où l'on va ramasser les mûres sur la route du cimetière. On y partait en vacances même l'hiver, dans la neige. La Corse, c'est l'attachement à la terre, la nature que l'on respire, la liberté, c'est physique, marcher dans la montagne". Les Corses ont un humour pince-sans-rire, "ils vous diront qu'ils ne parlent pas le corse, mais bien l'italien de Dante", leur fierté et leur culture ont été restaurées par le groupe Canta U Populu Corsu. Son père, admirateur de Simon & Garfunkel, chantait des paghjellas (polyphonies traditionnelles) dans les cafés insulaires.

Meneuse de groupe garage au lycée, danseuse avec la Compagnie des Prairies, lectrice de Charles Baudelaire, de la famille décalée des Katerine ou Bertrand Burgalat, Barbara Carlotti picore, collabore, flirte avec le cinéma, dépasse le bon goût - en 2006, au Café de la danse à Paris, un faux banquier est crucifié nu en scène, "à partir d'un titre, Donnez-moi de l'argent, on avait monté une performance : Le Martyr du capitalisme, dans la filiation de Fluxus, pour réveiller les consciences. C'était mal ficelé, on m'a dit que j'avais foutu ma carrière en l'air". Presque.

De Santa Teresa à Ipanema

Après L'Idéal, ses soutiens sont restés, "ma manageuse, Judith Lévy, mes musiciens, ma maison d'édition, belge, Stricly Confidential, et le logiciel Garage Band. Les refus nous ont poussés à travailler beaucoup les arrangements, mais m'ont confortée dans l'idée que je ne pouvais pas faire autrement. Il n'y a pas de recettes en musique. Je ne voulais pas changer, mais ouvrir le registre de la chanson française". En 2009, Culture France lui offre trois résidences à l'étranger. Elle choisit l'Inde, "parce que George Harrison". A Bombay, elle apprend le sitar "avec Ravi Shari", à qui elle tente d'inculquer les principes du couplet refrain. Ce qui donne Nuit sans lune, chanson à évolution circulaire. Elle va au Brésil, travaille les rythmiques avec Arto Moreira, et la sensualité poétique de Tom Zé. Puis, au Japon, prend des leçons de luth shamisen et compose L'Avenir au koto.

La chanson L'Amour, l'Argent, le Vent est l'histoire d'un braquage à Rio. Barbara Carlotti et son amie Camille descendent de Santa Teresa à Ipanema à pied en chantant des bossas-novas. "Des gamins blacks, balafrés, fébriles, tremblants" la dépouillent de son carnet de musique, machette et revolver à la main. Ils lui volent son carnet de travail. Elle ramasse ses impressions. "Un carnet, c'est symbolique parce que, dans le fond, on se souvient de tout." Au retour, elle monte à Manosque Nébuleuse dandy - lectures, vidéos, archives où se croisent Byron, Wilde, Warhol, Gainsbourg et le glam rock. Sur l'affiche, elle a le visage barré de l'éclair d'Aladdin Sane, de David Bowie.

Barbara Carlotti n'est pas une chanteuse de rue. C'est une littéraire de cabaret. Ouais, ouais, ouais, qui décrit une jeune créature de nuit, est, dit-elle, inspirée du roman Rose poussière, de Jean-Jacques Schuhl. "Il y a un chapitre intitulé "Ouais, ouais", qui est encadré par deux chapitres consacrés à l'actrice et mannequin Zouzou." Le reste est jalousie caustique (Dimanche automne), insomnie créative (Nuit sans lune), tout en désinvolture et plans-séquences.

Source : http://www.lemonde.fr/culture/article/2012/04/07/barbara-carlotti-est-venue-a-vu-a-vaincu_1682172_3246.html
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Je l'ai découvert, il y a trois mois et j'aime beaucoup.

C'est le genre d'album qu'on écoute pas souvent mais qui sur la longueur fait son chemin et marque nettement plus les esprits qu'un album ingurgité en une semaine et jeté aux oubliettes. D'abord, il y a le timbre, posé et un peu austère, qui s'impose dès la première écoute, j'ai tout de suite pensé à Barbara (celle de l'Aigle noir) avant de m'apercevoir que l'univers n'était peut-être pas si noir que ça.

Dès les premières notes du titre d'ouverture "L'amour, l'argent, le vent" le cadre est posé. Il ne reste plus qu'à laisser peindre l'intérieur pour apprécier toute la richesse de l'album musicalement parlant, qui est nettement au dessus que n'importe quel disque d'artiste grand public. Même s'il ne faut pas s'attendre à des performances vocales en puissance, elle se défend très bien et colle au reste ce qui donne un ensemble très soigné et varié. La cerise sur le gâteau reste les textes qui font mouche chez les trentenaires probablement parce qu'ils parlent de situations que seuls les presque quadra ( :D ) connaissent : Les nuits blanches sur fond de doutes ("Grande autoroute" et "Nuit sans lune"), l'évolution du monde actuel de plus en un axé sur le paraître et le matériel ("L'amour, l'argent, le vent..."), les premières rides quand ce ne sont pas les suivantes ("J'ai changé") ou une jeunesse regrettée ("Occupe-toi de moi" puis la boum des "Quatorze ans"), la jalousie ("Dimanche d'automne") puis la fin d'une relation ("Marcher ensemble") ou la dépression ("Le coeur à l'ouvrage").

Concernant les albums, j'avoue m'y perdre un peu. Pour certains, il s'agit du deuxième album mais d'autres en évoquent quatre. Toujours est-t-il que j'ai réussi à me dégoter l'opus précédent par hasard dans un cash converter (neuf) pour presque rien. "L'idéal" s'inscrit dans les mêmes lignée avec d'autres orchestrations. Je dirais que l'ensemble se veut plus léger, j'y reviendrais plus tard.

La lecture de cet article me fait un peu rager dans le sens où j'ai laisser filer la bande sonore d' "Imbécile", j'aurai du la prendre à l'époque mais ne connaissant rien à part Katerine et Helena.

Modifié par mindscape
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:mellow: Heu je ne connais pas... c'est pas le genre de musique que j'écoute en ce moment :ninja:

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Je me range complètement à l'avis de Mindscape ! :D

En tout cas pour le dernier album, car je ne connais pas les autres.

Heureux de voir que d'autres membres, ici, l'apprécient (en tout cas, au moins un !)

Elle était en concert il y a 2 semaines dans un tout petit théâtre à côté de chez moi, mais je ne l'ai su que très tard et je n'ai pas trouvé de place... Dommage ! Ce sera pour une autre fois.

Je la classe dans le même casier que des artistes comme Etienne Daho. De la belle pop, simple mais bien fichue, avec une certaine ampleur dans les textes comme dans la musique. Le genre de disque sur lequel j'ai envie de revenir.

Elle sera aux Victoires de la Musique pour 2 nominations... et s'est engagée à faire le grand écart sur scène si elle remporte le prix de la Révélation du public... Pari tenu ? :happy:

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D'ailleurs c'est la seule victoire de la musique qui me botte ^^ (avec Dominique A).

Mais je crois qu'on peut toujours rêver, à moins d'un miracle.

Modifié par mindscape
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Création de la discographie (incomplète pour le moment) de Barbara Carlotti sur le site :)

==> Discographie.png

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