artiste Pet Shop Boys

[Angely]

Je trouve la voix du chanteur un peu spécial mais cela a son charme

Je connais que "West End Girl".

[Phil]

Le 4/2/2016à15:19, Leto a dit :

Pas de single physique ?

 

Pas d'infos pour le moment.

Le 5/2/2016à23:39, MarinaTechno a dit :

Je trouve la voix du chanteur un peu spécial mais cela a son charme

Je connais que "West End Girl".

Oui sa voix fait partie de sa signature et de la reconnaissance immédiate du groupe ;).

 

Tu as pas mal de retard en tout cas :).

 

 

Un remix très 90's du nouveau titre "Inner sanctum".

[Eurohit.Music]

Le 28/1/2016à19:07, Phil a dit :

Ca donne envie ! vivement le reste !!

Très hypnotique et un peu trance le rythme.

En effet, avec peu de vocaux, ça le rend même agréable Etonné par ce type de son. Est ce si mal de rester avec des "vieux" sons ?

 

il y a 20 minutes, Phil a dit :

Un remix très 90's du nouveau titre "Inner sanctum".

Intéressant on ce croirait y a 10 bonnes années, ca devient de plus en plus trance

[Phil]

“The Pop Kids”, the first single from the forthcoming Super album, will be released on March 18th on CD and digital formats. The track will also be immediately available on iTunes from February 16th to anyone who has pre-ordered the album. The CD single and digital bundle track-listing is as follows:

1. The Pop Kids (radio edit)
2. In bits
3. One-hit wonder
4. The Pop Kids (PSB deep dub)
5. The Pop Kids (The full story)

The ‘PSB deep dub’ and ‘The full story’ versions are remixes by Pet Shop Boys including additional vocals and, in the case of “The full story”, an extra verse which brings the story of the Pop Kids up to the present. “In bits” was produced and mixed by Stuart Price. “One-hit wonder” was produced by Pet Shop Boys and mixed by Pete Gleadall - it is a new version of an instrumental track written in late 1981 and remade in 2014 as the theme for Berlin’s online music show, The One-Hit Parade. This is the first time the full track has been released.
A remix of “The Pop Kids” by MK (Marc Kinchen) will also be released on digital only on March 18th. A vinyl 12” single will also follow later in March.
"The Pop Kids" will have its first play on BBC Radio 2's Ken Bruce show on Feb 16.

 

SOURCE : site officiel

 

Donc ça répond à Leto, oui y aura sortie physique ;).

[Axwell]

"The pop kids" a été dévoilé aujourd'hui. Toujours aussi inspiré par les 90's ! 

 

 

[Klems]

Plutot sympathique ce dernier titre!

[Eurohit.Music]

Préfère nettement le précédent, un peu mollasson celui là

[Phil]

Je prefere largement "inner sanctum", pas assez péchu ce titre, pas le plus efficace pour un lead single, ça fera pas un carton :\.

[Aegor]

Sympatoche le nouveau PSB, avec le style vielle école... en revanche je trouve le pont musical raté!

Modifié 26 février 2016 par Aegor

[Phil]

Ca s'ecoute mais apres plusieurs fois ...je maintiens ...pour un lead-single, c'est un peu faible je trouve ...

peut-être qu'avec des remix, ça me fera changer d'avis.

 

Vivement l'album en tout cas...1 mois ....

[Axwell]

Les Pet Shop Boys dévoilent un nouvel extrait de "Super" quelques jours avant sa sortie : "Happiness", qui porte bien son nom !
Je trouve ce titre sympa !
A part ça, l'album a fuité sur internet (refrain connu...)

 

 

[Phil]

Oui et il y a des pépites sur cet opus : "Burn", "The dictator decides" et "twenty-something" ...

[Phil]

Critique d'Olivier Cachin

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1500870-les-pet-shop-boys-sortent-super-un-album-de-pop-radieux-impertinent-et-nostalgique.html

[Axwell]

Album acheté hier en version vinyle. Il se présente sous la forme d'un gatefold, avec la galette couleur blanche. Les couleurs fluo de la pochette arrachent bien les yeux par contre !  Il y a aussi un code pour télécharger les MP3.

[mindscape]

Une petite review ? 

 

Super !!!! C’est ce qui est annoncé comme un mauvais pop-up sur le dernier artwork de Pet shop boys mais diablement efficace, ça crève les yeux !!! Mais qu’en est-il vraiment du contenu ? Avec «Super», le duo le plus fluo de la pop poursuit sa collaboration avec Stuart Price après un «Electric» bien énervé qui leur a permis de pérenniser la machine à tournée. Un projet en trois temps qui leur a donné un sacrée coup de fouet à leur discographie qui semblait prendre la pente descendante après quelques albums un peu en dehors de balises qui ont fait leur succès.  Pour ce second volet, les Pet shop boys s’amusent avec leur fans en teasant des extraits alléchants qui semblent perpétuer le terrain de jeu de l’album précédent. Puis, il dévoile «Inner sanctum» le frère caché d’Axis qui ressuscite non pas les basses dynamiques mais un tempo lourd vite gommé par cette scène trance 90’s au moment où elle s’est aseptisée, celle des Chicane, Faithless et autres Sash (sic...). Peu de temps après, ils enfoncent le clou avec «The Pop Kids», une relecture oldschool d’un improbable mix entre «Before» et «One and one make five» . Autant dire qu’on était prévenu, après le retro-futuriste «Electric», ils allaient encore déclencher la machine à remonter le temps, un peu comme s’ils retrouvaient les démentes expériences de «Very». Bah détrompez-vous, Neil et Chris se sont foutus de notre gueule car «Super» n’est pas aussi super qu’ils nous l’ont annoncé, il est carrément différent car il pioche à peu près partout et pas forcément là où on les attendait en mettant ces deux trompe-l’oeil en avant. D’entrée de jeu, ils taclent Avicii sur son propre terrain en évitant de cloner la fête foraine qu’est «Hey brother» tout en dégainant un refrain country clamant haut et fort, façon comédie musicale, qu’il est long le chemin menant au bonheur annonçant clairement le but de ce qui va suivre. Mais là où «Electric» se plaisait à détailler les constructions sonores, «Super» se veut d’être plus immédiat pour contrer l’effet zapping chère à l’ère 3.0, celui du ultra-connecté dont les boys traitent avec une certaine ironie. Malheureusement, cela se fait au détriment des morceaux dont la durée se cantonne aux trois minutes trente pour la majorité, ce qui en quelques sorte pourrait desservir des titres pourtant efficaces comme «Groovy», «Say it to me» et «Burn» dont la fin se termine souvent en queue de poisson, coupant la chique à ceux qui les avaient retrouvé lorsqu’ils ont écouté pour la première fois «Electric». De même, le morceau dont le titre pourrait présager la même folie que «Shouting in the evening», à savoir «Pazzo!» aurait pu être plus travaillé dans sa folie au lieu de passer pour un simplet sautillant. Mais le gros point noir de cet album se résume en un titre «Twenty something» dont la mélodie parasite le texte autant que le rythme saborde la mélancolie. Si certains pensent à un vrai-faux groupe des Pays de l’est, on n’est pas très loin d’une Isabelle dont on aurait envie de crever les yeux pour avoir menti sur la marchandise en envoyant «L’aventurier» soit disant  au pays du reggaeton.  Le gros point fort de cet album reste, à l’instar de ce qu’ils nous ont présenté sur les deux albums précédents, c’est sa cohérence à la fois par la structure globale des enchainements et par l’enveloppe sonore qui reste au final le seul lien avec «Electric». A première vue, on dirait que l’album se scinde parfaitement en deux comme s’il était pensé pour l’édition vinyle. Face A, on a donc «Happiness» et «Pazzo!», deux farces qui encadrent ce que les boys peuvent faire dans leur diversité : «The pop kids», comme titre dance subtil, «Twenty something» un titre pop métronomique, «Groovy» un titre dance musclé et «The dictator decides» un titre down tempo sophistqué. Face B, on a la même intention mais génétiquement modifiée sur le plan minimaliste multiplié par deux : Deux titres dance contre un titre électro-pop. Aussi, est-ce que le tracklisting n’est-il pas penser comme des modules interchangeables de manière à former trois EP distincts par leur tendances, à savoir trois titres instrumentaux (un clone et deux plaisanteries), quatre titres électro-pop (période «Fundamental» en mode «Electric») et cinq titres dance efficaces (mais moins ambitieux que les meilleurs plages du premier volet) ?  Ce qui est intéressant de voir aussi c’est des titres comme «Pazzo!» qui semblent être clairement une réponse aux questionnement du «Dictator», un peu comme si, soyons fous, Gianfranco Bortolotti se lamentait de ses pantins. Car étrangement, les Pet shop boys font référence à ce que la dance music était dans la forme commerciale dans les années 90 sinon pourquoi le gimmick de «The pop kids» serait-il la recette de «Vocal» dans moule d’une house moins putassière ? Pourquoi «Pazzo!» résonne comme un instrumental de Technotronic qui aurait piqué la garde robe d’un U96 ? A l’époque où «Very» s’était écarté de cette dance décriée par les puristes, ne pointent-ils pas indirectement les puristes mais aussi les acteurs d’aujourd’hui en leur disant «Mais voyez vous ce que vous en avez fait !!! C’était commercial mais d’un point de vue sonore, ils étaient plus innovant que vous ne l'êtes actuellement» ? Là où les boys ont fait fort c’est avec «Say it to me» dont le gimmick semble tout droit sorti d’une plage d’Ibiza avant qu’elle ne dérape sérieusement. Alors oui, les titres dance de «Super» sont parfois «hyper rétro» mais c’est nettement mieux que cette scène dance qui ne fait que saloper le reggaeton en y greffant leur rythme accéléré sur des titres pop comme par exemple «The Pop kids» remixé par l’infâme Offer nissim ou plus clairement le «Judas» remixé par Guena LG.  Parmi d’autres enchainements troublants, on a ceux des textes qui n’ont pas encore tout dévoilés. D’abord «Twenty something» qui semble décrire la jeunesse d’aujourd’hui alors que «The pop kids» fait référence à celle de la génération précédente, «Groovy» et «Sad robot word» qui font référence aux dérives auxquels sont soumises les personnes ultra-connectés, «Intro the air» et «The dictator decides» aux rapports qu’ont les citoyens avec leurs dirigeants, mais aussi «Say it to me» et «Undertow» traitant des relations sentimentales quand «Burn» et «Inner sactum» traitent d’hédonisme dont «Hapiness» et «Pazzo!» semblent bien se moquer. Au final, «Super» pousse plus loin le côté fil rouge cher à «Elysium» pour proposer à la manière d’un puzzle chinois, autant de lectures et de possibilités le rendant plus profond que le côté minimaliste de certains textes ou mélodies le laisserait supposer.

 

 

[Axwell]

Visiblement, TSUGI a adoré l'album !

 

Citation

Allez savoir pourquoi on a toujours l’impression d’opérer un gigantesque coming out en écrivant tout le bien que l’on pense d’un album des Pet Shop Boys. Comme si aimer ce duo avait quelque chose de honteux, ce qui n’est pas forcément le cas pour New Order ou Depeche Mode. Ne faites pas les innocents, on sait très bien ce que vous avez en tête. Ils sont vieux, ils s’habillent n’importe comment et ils sont ringards depuis quinze ans. Et quoi d’autre ? Allez-y, on a l’habitude. C’est vrai qu’avec leur clip à la con où ils se trémoussent avec des cônes de chantier sur la tête ou leur comédie musicale niaiseuse, Neil Tennant et Chris Lowe ne nous ont jamais rendu la tâche facile. Et si l’Electric tonitruant de 2013 a semble-t-il été leur disque qui a le mieux marché depuis vingt ans en Amérique et au Royaume-Uni, on ne peut pas dire qu’en France, patrie du bon goût, il ait été chaleureusement accueilli. Depuis plusieurs années, l’électro-pop des Pet Shop Boys s’est teintée d’une sorte de house Hi-NRG qui explose tous les compteurs du pouet-pouet. Il est donc devenu de plus en plus paradoxal de parler d’élégance à leur endroit. 

 

Et pourtant, on n’hésitera pas une seconde à clamer haut et fort que ce nouvel album (leur douzième) est d’une classe magistrale. OK, la production est souvent lourdement bodybuildée et elle serait probablement totalement indigeste si Super n’était pas tout entier porté par une grâce mélodique qui fait de lui une formidable usine à tubes. Les Pet Shop Boys ont toujours été un groupe épique et outrageusement pop, mais leur génie, et ce disque en est une nouvelle démonstration, c’est leur capacité à associer beauté, mélancolie et commentaire désabusé sur la nature humaine dans un emballage prosaïque, pour ne pas dire franchement vulgaire. Comment ce groupe peut-il être à la fois sombre et lumineux, cérébral et dilaté, chic et populaire ? Mystère. Super est probablement leur plus grande réussite depuis Bilingual en 1996 (il faut reconnaître qu’il leur arrive de se vautrer en beauté).

Et si ce plaidoyer ne vous a pas convaincus, écoutez seulement “The Pop Kids”, sublime single faussement autobiographique (faites attention aux paroles, Neil Tennant et Chris Lowe ne sont pas connus au début des années 90, ils ne parlent en réalité pas d’eux, même si, en filigrane…), vous verrez bien que jamais la pop n’a été aussi intelligente. Laissez-vous aller, n’ayez pas peur, tout va bien se passer.

 

 

http://www.tsugi.fr/chroniques/2016/04/11/album-mois-pet-shop-boys-super-15896

[Phil]

On de bonnes sources lol .

 

Le forum français l'aime aussi et j'en fais partie !

Très addictif ce "super" !

[Axwell]

Les Pet Shop Boys ont dévoilé aujourd'hui les dates de leur Super Tour (pas de passage en France pour l'instant), et surtout le nouvel extrait de l'album, qui est "Twenty-something". Choix étrange au vu des autres titres...

 

 

[Phil]

2ème single qui était annoncé depuis un moment ...

 

Bizarre ce clip, je voyais pas ce genre avec la chanson.

 

Du coup pas de clip pour "the pop kids".

[Axwell]

Un maxi-CD a été édité pour le single "Twenty-something", avec les titres suivants :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1.	Twenty-something (Radio Edit)
2.	The White Dress
3.	Wiedersehen (feat. Rufus Wainwright pour les chœurs)
4.	Twenty-something (The Los Evo Jedis Remix)

 

 

 

 

 

 

 

Et pour ceux qui regrettaient que le premier extrait "Inner sanctum" ne bénéficie pas de support physique, voilà une séance de rattrapage puisqu'un maxi vinyle sera édité le 22 juillet (source : site officiel), avec les titres suivants :

 

1.	Inner Sanctum (Carl Craig c2 Juiced RMX)
2.	Inner Sanctum (First Demo)
3.	Inner Sanctum (Second Demo)
4.	Inner Sanctum (Album Version)

 

 

 

 

[Phil]

PET SHOP BOYS en concert à l'OLYMPIA le 28 FEVRIER 2017 pour le "SUPER TOUR".

 

Je pensais que l'info etait déjà postée lol.

 

Les places sont parties très vite ...mais aux amateurs éventuels.

Modifié 9 septembre 2016 par Phil

[Leto]

il y a 1 minute, Phil a dit :

Les places sont parties très vite ...mais aux amateurs éventuels.

Si ya plus de place, que veux-tu qu'ils fassent les amateurs ? C'est trop tard

[Phil]

Le 3ème s

à l’instant, Leto a dit :

Si ya plus de place, que veux-tu qu'ils fassent les amateurs ? C'est trop tard

 

Il en reste encore mais en mezzanine (meilleures places) il reste plus grand chose .

 

Reste l'Orchestre et le balcon

[Eurodacer69]

A présent c'est le marché noir qui va aller bon train T'a plus qu'a t'endetter sur plusieurs années phil si tu veux des places

Modifié 9 septembre 2016 par Eurodacer69

[Phil]

non c'est bon je récup la mienne demain normalement

 

et au prix normal.

Modifié 9 septembre 2016 par Phil