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je ne pense pas que ce soit un de leurs choix mais plutôt celui de la maison de disques :dry:

d'un autre côté en 25 ans, ca ne fait que le 3eme best of ...mais certes il est rapproché du precedent.

1991 : Discography : the singles collection

2003 : Pop Art

2010 : Ultimate

il faut voir aussi le DVD qui rien qu'à lui seul vaut l'achatsi on aime vraiment ....après ...le Cd est "accessoire" .....

y a un petit côté "eurodance" à la musique de "Together" je trouve ....

du moins, la production de ce titre est plus "lourde" que d'habitude...

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12 ans et 7 ans entre les best of ça me semble pas choquant. Ne vous plaignez pas, à la disparition du groupe et/ou à leur mort il y aura un best of tous les ans :D

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pas faux :D

pour a-ha (par exemple) y en a eu 3 et le groupe est sur la fin :

1991 : Headlines and deadlines - the hits

2004 : 1984-2004 the singles collection (sorti par obligation de sortir un album avant de changer de maison de disques)

2010 : 25 - the very best of

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Mais où est Phil ?

Le 6 février sortira "Format", une double compilation des B-sdes sortis ente 1996 et 2009, faisant suite à "Alternatives".

Image postée

CD1

1. The truck driver and his mate

2. Hit and miss

3. In the night (1995)

4. Betrayed

5. How I learned to hate rock 'n' roll

6. Discoteca (New Version)

7. The calm before the storm

8. Confidential (Demo for Tina)

9. The boy who couldn't keep his clothes on

10. Delusions of grandeur

11. The view from your balcony

12. Disco potential

13. Silver age

14. Screaming

15. The ghost of myself

16. Casting a shadow

17. Lies

18. Sexy Northerner

CD2

1. Always

2. Nightlife

3. Searching for the face of Jesus

4. Between two islands

5. Friendly fire

6. We're the Pet Shop Boys

7. Transparent

8. I didn't get where I am today

9. The Resurrectionist

10. Girls don't cry

11. In private (7-inch mix): Pet Shop Boys with Elton John

12. Blue on blue

13. No time for tears (7-inch mix)

14. Bright young things

15. Party song

16. We're all criminals now

17. Gin and Jag

18. After the event

19. The former enfant terrible

20. Up and down

Pas grand intérêt pour tous ceux qui auraient déjà les singles et les maxi, mais une pièce de collection pour tout fan, enfin ce qui reste ... Vu que cela n'a pas été fait, voici un petit résumé.

Les Pet Shop boys étaient à la pointe de l'électro pop au milieu des années 80. Quelques années plus tôt, Neil Tennant est chroniqueur pour Smash hits, magazine musical pour ado et Chris termine ses études d'architecture. Ils se rencontrent dans un magasin de musique et décident de partager leur passion pour le disco en faisant quelques titres. Après avoir rencontré le producteur Bobby Orlando (dont ils adorent la production), ils finissent par enregistrer une première version de "West end girls" qui n'eut qu'un petit succès en Belgique et en France en 1984. Ce n'est qu'après avoir enregistré une nouvelle version single que le groupe va rencontrer le succès, le titre se classant numéro 1 en Angleterre, début 1986, leur premier album "Actually" dans la foulée.

A la première écoute, les Pet shop boys sont souvent cités en comparaison avec d'autres formations electro-pop (Depeche mode et Erasure en tête). Leur succès tombe juste au moment où la new-wave et l'italio disco s'essoufflent mais juste avant la déferlante acid-house, les mettant au devant de la scène sans trop de concurrents directs. La majorité des singles se classeront dans le TOP 10 britannique ( mais surtout 4 numéro 1 en deux ans, dont la célebre reprise d'

" d'Elvis presley). Même si en France le succès est moindre (la meilleure place étant 12e avec It's a sin), les clubs et les radios les diffusent largement. Le summum de la première partie de leur carrière sera finalisée via "Introspective", troisième album éléctro-pop ambitieux. S'il ne contient que 6 titres, il a le mérite de prendre la culture du maxi à l'envers, l'idée étant de partir de versions longues (lorgnant parfois avec les 10 minutes) pour en sortir quelques uns au format single.

Si "Behavior", le quatrième album marque une rupture où il s'éloigne de l'électro-pop et des sentiers de la dance music alors en pleine révolution créative, il est considéré comme le chef-oeuvre du groupe car il permet au groupe de faire valoir un tout autre atout : la qualité d'écriture des textes prenant le contrepied d'une légèreté propre à la dance-music, allant de l'ironie au militantisme, un album assez noir comparé au festif "Very" trois ans plus tard

A partir de 1996, cela devient de plus en plus compliqué, les ventes déclineront d'albums en albums, les boys ayant décidé de faire ce qu'il leur plairait. Après quelques inspirations latines pour "Bilingual", ils déconcertent avec "Release", un album plus axé sur la brit-pop des années 90, l'électronique n'étant plus qu'en retrait. S'ils ont eu l'occasion de retravailler avec Trevor Horn (Buggles, Art of noise, Frankie goes to Hollywood ...) pour l'album "Fundamental", le succès d'antant ne sera pas au rendez-vous.

Aujourd'hui, le groupe garde surtout une base suffisamment fidèle pour poursuivre leur route. Après "The most incredible thing" (un ballet musical) et une double compilation de B-sides, un onzième album est prévu, en principe pour cette année.

Modifié par mindscape
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Oui (un peu à l'arrache, j'ai fait abstraction de pleins de trucs), même si c'est pas très objectif dans le sens où les deux derniers albums ne m'ont pas marqué. On est très loin des premières années au niveau créativité. Sur un album il n'y a que 4 ou 5 de bons mais cela n'engage que moi. Je suis plutôt fan des débuts via les versions maxi.

Difficile d'égaler leur chef d'oeuvre (sorti en pleine période acid-house).

http://www.youtube.com/watch?v=8qVymA2KMgk

Sans oublier ces quelques perles.

http://www.youtube.com/watch?v=8A14aRQGU8Y

http://www.youtube.com/watch?v=ZnjZtZw58HA&feature=results_video&playnext=1&list=PLEA83CE2EE7050564

http://www.youtube.com/watch?v=rFylULoa70w&feature=related

Modifié par mindscape
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Posté (modifié)

Oui j'avais lu ça sur leur forum français..

Un titre a fuité "Invisible"....ce ne sera surement pas un single (car un peu mou du genou) mais tres agréable et planant...

Dur de succéder à l'excellent "YES" sorti il y a 3 ans déjà et une fabuleuse tournée le "Pandemonium Tour" :pompom:

Modifié par Phil
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Mais où est Phil ?

Je suis là :sournois:

Oui oui je sais j'ai pas posté l'info mais oui j'etais au courant :P

Tu t'en sors très bien :ok:

Sinon pour en revenir à ton post précédent, oui le succès n'est plus le même mais leur fan base est solide et mis à part "Release" en 2002 qui a supris, niveau créativité ils sont fait fort et bien avec "Fundamental" (2005) et "Yes" '2009) :).

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Nouveau single à venir début juillet et le nouvel album sort en septembre 2012 et se nommera "ELYSIUM"....

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comme l'a annoncé Phil, le nouvel extrait du prochain album "Elysium" à paraître le 17 septembre vient d'être révélé.

Il s'intitule "Winner".

Pas de vrai clip, mais une vidéo comportant les paroles.

Pour rappel, le premier extrait de "Elysium" à avoir été diffusé était "Invisible".

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"Winner" aurait été commandé en catastrophe par EMI à l'occasion des JO, d'où l'absence de clip :rolleyes:

Personnellement, je ne suis pas emballé, c'est bien mais on dirait un titre de remplissage plus qu'autre chose.

En revanche, un second single serait sur les rails dès la fin août (en fait c'était le premier prévu par les boys) : "Down in the woods" qui sortirait physiquement à la rentrée dans la foulée de l'album.

En attendant, une petite touche Mindscapienne... ou presque, Mindcape étant plus soft que cet autre pseudo :ninja:

Modifié par mindscape
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Pour le moment, je trouve ces 2 extraits plutôt molaçons .... :non:

Ca me rappelle un certain "Release" que je n'ai pas apprécié du tout à côté du reste :dry:

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C'est vrai que ces deux extraits ne me donnent pas envie de camper devant la Fnac 5 jours à l'avance pour être le premier à avoir l'album... :zipped:

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En lisant un post de Moratto, je me suis rendu compte que j'avais oublié pas mal de news.

(Phil étant en train de cuver son anniv' je le laisse tranquille :siffle: )

Winner a bien fait l'objet d'un clip... qui n'a pas été compris par les fans. Si le sujet est assez culotté en pleine vague des JO (mais so PSB pour le démarquage, le groupe voulant montrer la cohésion d'une équipe hors du commun pour un sport peu commun), je tiquerais plus sur la mise en forme. On dirait plutôt un reportage TV.

Le maxi est sorti début août avec des b-sides prenant à contrepied l'ambiance générale du prochain album "Elysium".

"A certain 'Je ne sais quoi' " qui ne m'a pas trop convaincu par son côté déjà-vu mais qui a fait mouche auprès des fans.

http://www.youtube.com/watch?v=2vLto7JnsGw

"I started a joke", une reprise des Bee Gees qui semble sortie tout droit des sessions de "Release".

Puis "The way through the woods" qui tranche avec le reste. A mon avis, plus en phase avec son époque.

http://www.youtube.com/watch?v=n5oAgLSZp2Q&feature=related

Finalement "Down in the woods" aura été une mauvaise piste :siffle:

"Winner" s'est pris un four monumental : 85e dans les charts UK et puis s'en va !!! :ohmy:

Quant aux remixes, ils sont sortis une semaine plus tard. Je ne retiendrais qu'un seul en entendant le "Wildeboys remix", j'ai juste envie de fuir par moment. Je trouve que d'accélérer le débit pour faire un titre dance est une très mauvaise idée !!

En revanche, celui-là est très bien réussi, je dirais même qu'il surpasse la vo :

http://soundcloud.com/brilliantpsb/08-pet-shop-boys-winner-andrew

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Annoncé pour le 18 sept, "Elysium" sortira le 10 septembre en trois formats différents ^^

Edition simple (12 titres)

Image postée

Tracklisting :

1 Leaving

2 Invisible

3 Winner

4 Your early stuff

5 A face like that

6 Breathing space

7 Ego music

8 Hold on

9 Give it a go

10 Memory of the future

11 Everything means something

12 Requiem in denim and leopardskin

Edition deluxe (2 cd - 12 titres + 12 instrumentaux)

Image postée

Détail du 2e cd (les 12 titres seraient mixés ensemble)

1 Leaving (instrumental)

2 Invisible (instrumental)

3 Winner (instrumental)

4 Your early stuff (instrumental)

5 A face like that (instrumental)

6 Breathing space (instrumental)

7 Ego music (instrumental)

8 Hold on (instrumental)

9 Give it a go (instrumental)

10 Memory of the future (instrumental)

11 Everything means something (instrumental)

12 Requiem in denim and leopardskin (instrumental)

Edition vinyle, reprenant le tracklisting de l'édition deluxe.

Image postée

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Attention !!! Teaser :

http://www.youtube.com/watch?v=KMXGmV6u7ls

Modifié par mindscape
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Après 3 mois d'écoute, l'heure est au bilan pour "Elysium".

Rendez-vous au Paradis

Automne 1987, je découvrais un morceau de dance music qui allait constituer l’un des titres phare des années 80. Un morceau que je passe toujours avec autant de plaisir aujourd’hui car il me rappelle ces bonnes bouffées d’air que me procuraient ces échappatoires. Sauf que cette version n’était qu’un remix d’un single qui lui était tout à fait insignifiant pour un ado de 15 ans : Il fallait que ça bouge sinon le single passait aux oubliettes. Les ondes françaises ne diffusant que cette version, il m’a fallu quatre ans avant de découvrir la version originale avec toute la déception qu’elle comporte et de prendre à mon compte le titre en question : «What I have done to deserve this?». Il a fallu attendre les rééditions des premiers albums pour les considérer d'une autre oreille, mon erreur ayant été d'en attendre une dance music dans l’air du temps alors que leur discographie ne se résume pas qu’à ça.

D’ailleurs, Chris et Neil doivent s’en foutre du quart comme du mille puisqu’ils ont toujours tracé leur route avec une certaine forme d’indépendance : Faire de la pop mais à contre courant ou en détournant subtilement les codes quitte à dérouter les fans de la première heure. S’ils ont été, à une époque, les fers de lance d’une dance music de qualité avec des retours fraçassants (cf la période "very"), ce n’est plus trop à l’ordre du jour puisqu’ils sont à fait d’accord pour dire qu’ils ont fait leur temps. C’est pour cette raison qu’ils préfèrent laisser la place aux jeunes pour présenter quelque chose de plus conceptuel. Des tendances latinos de «Bilingual» au rétro viseur brit-pop de «Release» (ok c’est un peu réducteur), chaque nouvel album laisse place à un cadre précis, à l’instar de cet «Elysium», témoin d’une sérénité plutôt effrayante.

Les Pet Shop Boys sont lucides et s’en amusent. Ils ont eu le goût de conduire l’ensemble sous les cordes et les choeurs pour ensoleiller des textes non pas morbides mais faisant référence à une fin de vie ou par extension de fin de parcours. Pourtant, il y a deux pièces à contre-courant de la thématique principale. Le premier est le trop simpliste «Winner» qui laisserait croire que Chris a vendu un Prophet sur ebay pour se racheter un Bontempi (chose qu’il avait déjà fait pour «I get along»). Si le titre a été recommandé par la maison de disques pour surfer sur la vague des J.O. l’été dernier, cela leur a valu la plus belle contre performance de leur carrière : Même pas un top 40 dans les charts U.K alors qu’ils étaient habitués à se classer dans le top 20 !!!! La seconde pièce scande «Hold on» (Tenez bon !!!) façon comédie musicale dégoulinante de bons sentiments. Un morceau taillé pour les planches que l’on imagine fort bien avec une chorégraphie bras écartés (sur une croix ?), vols de colombes en sus, mais qui a un sacré potentiel pour finir en hymne des stades pour ressortir les poings levés de «Go west». L’histoire nous dira si ça ira jusqu’aux grands évènements sportifs ou si ça restera comme un hymne gay de plus. Ces deux pièces ont un but simple, établir les frontières entre plusieurs parties comme pour envoyer l’auditeur vers une nouvelle variation thématique à moins qu’il ne s’agisse de le remettre sur le bon chemin parce qu’il est trop tôt pour partir. En fait l’album est découpé en trois grandes phases.

D’abord le constat de la fin avec «Leaving» et «Invisible». Si le premier peut évoquer la fin d’une relation amoureuse, il est surtout imprégné par le décès des parents de Neil donnant une gravité maîtrisée dans le sens où c’est nettement moins violent qu’un «Love is a catastrophe» (cf l’album «Release»). C’est un peu comme s’il avait fait le travail nécessaire du deuil pour donner un ton plus apaisé, non loin d’un crépuscule à venir, lorsque le spectre des rayons de soleil n’est visible que par sa projection sur les nuages (la pochette de l’édition limité n’y est absolument pour rien dans l’image). Puis le fantomatique «Invisible» vient accompagner la tombée de la nuit et va plus loin. Une fois avoir quitté ses proches, on n’existe plus. Le titre est aussi énigmatique que polymorphe pour son champ d’interprétation multiple qui pourrait laisser croire qu’il s’agisse également d’un pop star écartée par de nouveaux courants et/ou par le fait qu’il faut paraître toujours aussi jeune. C’est là qu’intervient le premier coup de fouet intitulé «Winner» : Si les gens sont sur le point de ne plus exister aux yeux des autres, ils peuvent toujours revendiquer le chemin parcouru (un chemin parfois semé d’embûches) et de dire aux détracteurs qu’ils n’en seront peut-être pas capable d’en faire autant.

A partir de ce moment-là, la seconde phase déroule le tapis rouge d’un passé tant regretté. Tout commence en douceur avec «Your early stuff» qui fait l’inventaire des clichés du groupe de la part des conducteurs de taxi : «Quel est votre nom», «Vos vieiles vidéos étaient marrantes», «C’est dingue, vous êtes vraiment de retour ?»... Le duo poursuit la trame évoqué par invisible avant d’enchainer avec «A face like that» qui justifie les clichés évoqués précédemment dans le sens où l’on est projeté musicalement vingt cinq ans en arrière (si ce n’est plus...) et par la même occasion permet au texte de trouver une excuse pour élargir un peu plus la thématique : L’histoire d’une personne aussi irrésistible qu’insaisissable, un sujet taillé sur mesure pour les artistes de moins de trente ans. Mais Neil se réveille et se rend compte que les choses ont bien changé. Si avec «Breathing space», il décrit le sentiment d’être en décalage avec le monde moderne et qu’il serait temps de se retirer, avec «Ego music», il tacle l’égo démesuré des artistes accros aux réseaux sociaux en imaginant ce qu’ils peuvent bien penser une fois chez eux : «Dans un océan de négativité, je suis la statue de la liberté, c’est pour cette raison que les gens aiment, c’est humiliant !!! »

Ce qui est très amusant, c’est le choix des mots. Je reste persuadé que l’enchainement des phrases «c’est humiliant» et «tenez bon !!!» n’est pas innocent du tout. Jusqu’ici Neil a fait largement le constat d’une pop star vieillissante qui ne peut rien faire contre la puissance du paraître. Comme je l’expliquais plus haut, «Hold on» est aussi horrible qu’il peut-être jouissif et ne fonctionne qu’à partir du moment où il est intégré dans une lecture classique d’un album, chose impensable à une époque où la musique se dématérialise. Neil explique dans un contre courant plus que positif (voir plus haut) qu’il y a encore des belles choses à vivre, qu’un futur est toujours possible.

Ce futur est présenté dans la troisième partie sous plusieurs déclinaisons. D’abord «Give it a go», titre qui flirte avec gentiment l’ambiance d’un générique d’une série actuelle. Je dois dire que certaines notes me font penser à celui des Experts passé au ralenti mais passons. Ici il est plutôt question de séduction voir de nouvel élan (en extension de «Hold on»), une séduction qui peut conduire à un parcours de longue haleine décrit par «Memory of the Future» («cela m’a pris toute une vie pour te trouver») faisant toujours écho à la thématique principale de l’album quand il ne s’agit pas de désaccords d’un «Everything means something» comme pour dire qu’il y a des choses à vivre tout en étant conscient qu’il va falloir toujours se battre pour obtenir ce que l’on désire. Musicalement, plus on avance plus on progresse vers un côté sombre (souligné par des arrangement de plus en plus complexes) jusqu’ici inexploré par le groupe à travers cet avant-dernier titre. Mais plutôt que de se laisser couler dans la gravité, les boys ont décidé de baisser le rideau par un pied de nez dont ils ont le secret !! Fini les gueules d’enterrement, place au Happy end avec «Requiem in denim and leopardskin», un hommage à la défunte Lynne Easton, maquilleuse ayant travaillé avec eux durant pas mal d’années dont l'ambiance fait penser à une fête au bord du Pacific Princess pendant le générique de fin.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser les Pet shop boys ne sont pas sur le point de raccrocher, un nouvel album dance est en route et une troisième comédie musicale serait en projet, laissant aux fans le soin de digérer un album faussement simple ou pas assez rentre dedans. Je dois dire que si la musique parait hors du coup (du temps ?), elle met probablement plus en valeur l’une des marques de fabrique du duo, à savoir leur distance au niveau de l’écriture permettant ainsi de mieux faire passer la pilule. Dire qu’ils ne se seraient pas foulés serait une erreur, l’album présentant une large palette musicale tout en gardant une cohérence évidente, sans doute la plus évidente de toute leur carrière.

Elysium TOP 5

1- Everything means something

2- Requiem in denim and leopardskin

3- Ego music

4- invisible

5- Memory of the future

Everything means something

http://www.myvideo.de/watch/8724124/Pet_Shop_Boys_Everything_Means_Something_Elysium_2013

Ego music

http://www.myvideo.de/watch/8734581/Pet_Shop_Boys_Ego_Music_Elysium_2012

Memory of the future (live in Berlin- sept 2012)

Memory of the future (remix single à venir - sorti le 31 dec)

Modifié par mindscape
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Les Pet Shop Boys seront de retour en juin avec (déjà) un nouvel album : "Electric".

Un teaser a été posté aujourd'hui :

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Et ben .... ils ne chôment pas .... ce Teaser m'a mis l'eau à la bouche en tous cas :laugh:

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Ils n'ont jamais chômé, si ce n'est pas un album, c'est un live, une collaboration ou un projet qui sort.

On va dire qu'ils sortent un disque par an depuis une dizaine d'années.

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Oui mais depuis au moins 15-20 ans, jamais 2 albums studio de suite à 1 an d'intervalle ;)

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Il devrait parfois prendre plus de temps !!!! :ouch2::ouch2:

Sinon ce teaser est aguichant...

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Le teaser est effectivement alléchant. En espérant une meilleure cuvée que le raté et dispensable Elysium.

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Merci Axwell de prendre le relai ;)......

Oui bonne nouvelle que ce nouvel opus déjà annoncé depuis un moment ......ça promet d'être bon et très bon vu le teaser ...

Ils seront au Grand Rex le 11 juin ! Ca promet d'être "Electric" :D....

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Après avoir quitté leur label Parlophone, ils créent "x2" (times two) via le label Kobalt pour la sortie de leur nouvel opus " "Electric" (produit par Stuart Price) qui sortira le 15 juillet. Il contient 9 titres, soit 8 inédits et une reprise de Bruce Springsteen.

Voici le tracklisting :

1. Axis (5:32)
2. Bolshy (5:44)
3. Love is a bourgeois construct (6:41)
4. Fluorescent (6:14)
5. Inside a dream (5:37)
6. The last to die (4:12)
7. Shouting in the evening (3:36)
8. Thursday (featuring Example) (5:02)
9. Vocal (6:34)
Et voici la cover :
pet-shop-boys-electroic.jpg

Puis "Axis" le titre d'ouverture, c'est tout frais.

Modifié par mindscape
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