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  1. Boccaccio Life Sans nul doute, le premier méga-dancing de musique électronique Belge. Les particularités du Boccaccio Life étaient : Un système son jamais vu ou plutôt entendu pour l’époque, plus de 20.000 Watts de son. Un public hétéroclite. Un lieu d'expérimentation musicale. Jamais jusqu'alors, on avait fréquenté un lieu de la sorte. c’était immense, c’était beau, c’était fort ! Dès les premiers mètres aux abords du parking, vers 23h15, car rappelons le, nous n'avions que 18-19 ans., La première chose qui nous marque, c'est ce son. On a l'impression de se rapprocher d'une usine de forgeron. La bâtiment est blanc, immense, le son est cadencé. Connaitre ça à 20 ans, alors que la France écoute de la soupe de New-Wave et de la variété, en Belgique se prépare la révolution des 90's, celle qui nous marquera à vie. A l'angle du parking, on aperçoit la queue pour rentrer. Les cheveux en l'air ou en bas, le pantalon flottant ou serré, les insignes, les chaussures, les ceintures... On aperçoit enfin la porte, il est 23h55. Le videur nous dévisage. Allons nous nous faire jeter ? Le videur tends le bras, mais c'est pour nous faire rentrer, la porte s'ouvre, la chaleur s’échappe, et toujours ce son, de plus en plus fort. C'est brutal, c'est mécanique, c'est hypnotique. Tu n'as jamais connu ça ou entendu ça. Après un rapide couloir, tu rentre dans le "temple". Et là c'est la claque ! Les basses te transperce, la foule qui danse, les lumières, les lasers, et les regards. Dans un (im)monde où plus personne ne se regarde, ici ça sourit, ça interagit. On y croise des Flamands, des Wallons, des Français, des Hollandais. Mais aussi des Anglais, des Allemands, des Luxembourgeois et autres outre Atlantique. Comme en témoigne le TSOB, le Boccaccio était surtout une zone expérimentale pour les compositeurs. Plusieurs maison de disques venaient y passer leur création au court des soirées. On pouvait entendre un tube sortir le samedi et devenir une hymne le samedi suivant. ********************************************************************************************************************************************************************* Une Tribute au Boccaccio: Boccaccio Life Destelbergen Boccaccio Life Destelbergen (1992) Boccaccio life destelbergen + Razzia Source Wikipédia : Les débuts Le Boccaccio a été créé en 1963 par Robert et Dirk De Maesschalck (père et fils) à Destelbergen près de Gand. À ses débuts, l'établissement n'était qu'une salle de fêtes très locale. Il faudra attendre l'arrivée d'un jukebox en 1964 pour devenir l'un des plus grands dancings de Belgique4. Le bâtiment se situant à côté d'un étang, celui-ci fut décoré comme un navire. Beaucoup d'éléments qui agrémentaient l'intérieur du club étaient issus du monde de la marine. Le Boccaccio s'est développé très rapidement sur le plan technique et a conquis une forte renommée dans la région de Gand. On pouvait y danser sur le disco, la soul, le funk des années 1970 et 80. Parmi les disc-jockeys qui y travaillaient, les deux DJ's les plus connus des années 1975 à 1985 étaient Dick Van Gelder et Phill Watts. 1986, le renouveau Le succès continua jusqu'en 1985, date à laquelle une nouvelle discothèque fut bâtie non loin : le Carrera. Afin de relancer le club face à la concurrence, Dirk et Robert se déplacèrent jusqu'en Angleterre afin de découvrir ce qui se faisait de mieux là-bas. Ils revinrent avec deux nouveaux concepts dans leurs valises : un nouveau système de lumières et de son. Le résultat de cette expédition fut visible dès 1986 : le Boccaccio était la plus grande discothèque de Belgique, possédant les toutes dernières techniques en matière de lumière et de son. Le nom de l'établissement changea légèrement pour lui donner une touche un peu plus chic : « Boccacio Life International ». Personne ne se doutait à l'époque de l'impact de ce renouveau, le club a grandi en un rien de temps et est devenu « the place to be ». Il était devenu une des deux ou trois plus grandes discothèques d'Europe de l'époque et son nom était connu bien au-delà des frontières belges. Le Boccaccio Life a vu émerger en ses murs un nouveau genre de musique appelé "New Beat" dont la vague déferlera sur toute l'Europe quelque temps plus tard5. Il a également été un véritable vivier pour la House Music en Europe. Les DJ's de 1986 à 1993 étaient Olivier Pieters, Eric B, Mike Thompson, Mario, Laurent Warin et Phi Phi. Le club était surnommé par les habitués « le temple de la New Beat et de la House ». Des soirées y étaient organisées le samedi soir, mais le club était surtout réputé pour ses nuits du dimanche soir : les Sunday parties qui débutaient à 22h pour se terminer très tard le lundi matin, poussant parfois jusqu'au mardi sans interruption. Des milliers de personnes venues des quatre coins de l'Europe se déplaçaient pour vivre ces soirées6. Il fallait parfois faire jusqu'à deux heures de file pour accéder à la piste de danse. Les soirées du Boccaccio Life étaient alors (de 1987 à 1993) le point d'orgue du marathon ininterrompu des discothèques belges allant du vendredi au mardi : le "Cheops" à Izegem le vendredi ; "At the Villa" à Kooigem, "La Rocca" à Lier (Anvers), le "Balmoral" à Gentbrugge (qui ouvrait à 5h pour les afters), le "55 (Fifty Five)" à Kuurne ou la "Gaîté" à Bruxelles le samedi ; et enfin le "Vaudeville" à Bruxelles ou spécifiquement le "Boccaccio Life" à Destelbergen le dimanche. Entre 1986 et sa fermeture forcée en 1993, le Boccaccio est passé par plusieurs périodes musicales et plusieurs directions artistiques : New Beat, House, Rave, Trance, ... mais l'équipe de DJs restait assez stable au travers des années. Durant les années 1991 à 1993, le slogan utilisé pour sa communication était NO music for MONEY but only for PLEASURE (PAS de musique pour l'ARGENT, mais uniquement pour le PLAISIR). 1993, la fermeture Le Boccaccio fut le premier méga-dancing d’Europe continentale7mais fut aussi l'un des premiers à devoir faire face à l'arrivée des drogues synthétiques8 en Europe, avec tous les problèmes que cela peut comporter pour une discothèque de cette ampleur. Sans compter les problèmes liés aux plaintes des riverains à la suite des nuisances générées (bruits, voitures envahissant tout Destelbergen car les parkings du clubs ne pouvaient accueillir tout ce monde, ...). Un matin d'octobre 1993, sur ordre des autorités belges, la police a envahi le club à 5 heures afin de faire sortir de force les clubbers et exiger la fermeture définitive et irrévocable des portes. Cette évacuation s'effectua non sans mal, les clubbers ne voulaient pas quitter les lieux et scandaient à tue-tête « Boccaccio » afin de soutenir leur club9. Il y eut quelques arrestations administratives ainsi que pour détention de drogue. En 1995, le nom « Boccaccio Life » fut vendu pour 250 000 BEF (un peu plus de 6 000 €) à un propriétaire de discothèques situées à Ostende et Halen. À la fin de 2010, l'établissement de Halen utilisait toujours le nom et le logo original à peine modifié. Entre-temps, l'orientation artistique de ces deux discothèques n'a jamais cherché à rejoindre celle du Boccaccio d'origine, mais bien à rendre durable la bonne exploitation de ces deux lieux.
  2. Hello, En cherchant des tracks de ce DJ sur Soundamental, je me rends compte que sa fiche n'existe pas. C'est chose faite. Olivier Pieters était DJ au temple des temple, « le temple de la New Beat et de la House ». , le Boccaccio ! ! ! Je compléterai sa bio au fil des semaines, très prochainement. Photos : https://www.discogs.com/artist/53902-Olivier-Pieters/images J'ai eu le plaisir de l’écouter le 21 septembre 2019 au domaine de la blommerie à Mouscron pour cette superbe soirée : Voila quelques titres composés ou sur lesquels il a participé : Second Chance - In paradise (1990) World Party II - Forget it! F.O.G. - Electricity (1989)
  3. Boccaccio Life est un groupe d'eurotrance qui sort le cd 2 titres: The Secret Wish en 97 .
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