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  1. Voici un projet qui n'aura sorti qu'un seul titre. Si on regarde de plus près la production, c'est signé par Eddie Beatboxking (cf. Indra) et Beckie Bell. Je suis retombé dessus il y a peu et je trouve qu'il y a du potentiel, bien que ce soit un poil trop mou. Nasty Lover sort donc à la rentrée 1991, à la même période qu'un certain Misery et un autre Steppin' Out Tonight. M.O.D.E. - Nasty Lover
  2. Masters At Work ce sont 2 américains qui ont produits parmi les plus beaux titres et remixes House de tous les temps. Il y a Kenny "Dope" Gonzalez et "Little" Louie Vega. Ils ont de nombreux pseudos et sont derrière River Ocean ou Nuyorican Soul par exemple. Une partie de leur succès provient aussi de la voix de India, chanteuse avec laquelle ils ont beaucoup travaillé. Chacun des 2 a aussi eu sa propre carrière solo. Je ne sais pas trop s'ils sont encore en activité aujourd'hui, je suppose que oui, au moins en solo. Parmi les "tubes" (tout est relatif avec la House, assez peu connue du grand public) : Masters At Work feat. India - I can't get no sleep MAW present India - To be in love Masters At Work feat. India - When you touch me
  3. Vous savez déjà probablement tous qui est Robyx, Roberto Zanetti de son vrai nom, vu que c'est un des principaux producteurs italiens de l'ère eurodance, même s'il est loin de se limiter à ça, je rappelle quand même quelques points parmi les plus importants avant d'en venir au but de la création de ce topic. Né en 58 en Italie, il a connu ses premiers succès italiens à la fin des 70's avec Santarosa puis au début des années 80 au sein d'un groupe nommé Taxi, dans lequel on trouvait son ami Zucchero, avec lequel il avait notamment travaillé bien longtemps après pour Baila Morena, devenu tube et disque d'or en France en 2006 suite à son utilisation dans les Bronzés 3. Après Taxi, il a enquillé sous le nom de Savage, qui est son propre pseudo et pas celui d'un groupe, et porté par le succès du single Don't Cry Tonight, il est devenu un des leaders de la scène italo disco. a cette époque, il était également à la prod du groupe Stargo qui avait connu le succès notamment avec la reprise de Live Is Life de Opus. A la fin des années 80, il se met à la production de House Music, et là encore connaît vite le succès avec Ice MC : Easy a connu en 1989 son plus gros succès en France, avant de devenir en 1994 la star telle qu'on a pu la connaître, toujours produite par Robyx. Son deuxième gros succès commercial était la production pour Double You, William Naraine était déjà dans le projet Data Drama produit par Robyx dès 1991. Et son troisième gros succès commercial de la période dance, c'est celui pour Alexia, ou Alessia Aquilani de son vrai nom, et tout cela explique bien sûr pourquoi ces trois-là (Ice MC, Double You, Alexia) ont si souvent travaillé les uns avec les autres. Et parallèlement à ça, il avait fondé son label, Dance World Attack ou plus simplement DWA pour promouvoir ses signatures. Mais contrairement aux apprences ce n'était pas un mastodonte comme Media Records ou la S.A.I.F.A.M puisqu'ils étaient en tout et pour tout quatre à travailler pour ce label, en profitant des opportunités. Donc, j'y viens, si je parle de tout ça aujourd'hui, c'est parce que le Decadance Book (encore une fois, merci à ce sujet @Astralys) a sorti ces jours-ci un énoooorme article lié à DWA qui en fait le tour complet, et ça se termine avec une itw de Robyx, dont je vous livre la traduction juste en dessous, bravo encore à eux pour ce super boulot archi complet, comme d'habitude. Voici le lien de l'article originel en Italien, pour ceux qui voudraient en prendre connaissance. Et ça m'a pris un bon moment pour tout lire, parmi les trucs que j'ai retenus en priorité, parmi un tas d'autres, mais j'y reviendrai, (ou quelqu'un y reviendra à ma place ! ) - Confirmation de ce qu'on supposait y a déjà très longtemps, Simone Jay chante bien TOUTE la partie vocale féminine dans Take Away The Colour et pas juste une petite partie, Jasmin Heinrich n'a donc probablement jamais chanté dans ce cas précis. - Concernant Alexia et particulièrement le titre Number One, si vous connaissez ce dernier et que vous écoutez le titre de Pandora qu'est You'll Always Be The Love Of My Life, le refrain va vous sembler familier ! Robyx en dit que c'est un producteur anglais qui lui avait envoyé une démo, et qu'il l'a utilisée à son compte avec autorisation... - Et pour le cas de Netzwerk, qui n'était pas un groupe produit par Robyx mais qui était signé chez DWA, on y apprend le pourquoi du changement de chanteuse, Sandy Chambers en 92/93 et Simone Jay à partir de Passion en 94. Ce dernier titre devait se faire avec Sandy mais il nous est dit qu'apparemment à ce moment précis de 94, elle n'était pas en état de chanter, ayant du s'arrêter quelques temps. Simone Jay a donc pris sa place. Et voici donc spécifiquement l'interview de Robyx à la fin de l'article, que je traduis ici pour l'occasion. Qu'est-ce qui vous vient spontanément à l'esprit lorsque vous pensez aux premiers mois de la DWA ? Sans aucun doute Ice MC. Je voulais créer mon propre label pour être immédiatement reconnaissable avec mes projets et me différencier de Discomagic, mon distributeur qui mettait trop de titres sur le marché à cette époque. J'ai donc réalisé "Easy" d'Ice MC, qui a immédiatement connu un succès incroyable dans toute l'Europe. Il était dans le top 3 des charts partout sauf en Italie. Pourquoi Ice MC a-t-il été initialement ignoré dans notre pays ? Le premier album, "Cinema", était plus hip-hop que dance et n'a pas commencé dans les clubs comme mes projets le font souvent. J'ai toujours fait des chansons qui étaient plus pop que dance, mais selon les DJ de nos réseaux, elles étaient trop commerciales. Mais dès qu'ils avaient du succès dans les discothèques, ils entraient aussi dans les émissions de radio. Est-ce le manque de considération en Italie qui vous a convaincu de ne pas sortir "My World", le deuxième album d'Ice MC, sur la DWA ? Non. En raison du succès du premier album, la société allemande Polydor a voulu accorder une licence pour le deuxième album dans le monde entier. Combien a coûté la réalisation des premiers clips vidéo d'Ice MC ? À l'époque, réaliser une vidéo pour un morceau de dance pouvait être déterminant pour le succès ? À l'époque, la réalisation d'un clip vidéo était très coûteuse, elle coûtait en moyenne cinq à dix millions de lires. Parfois, j'ai réussi à les limiter grâce aux contributions des maisons de disques auxquelles j'ai cédé les titres sous licence. Dans le cas d'Ice MC, il existe deux clips vidéo de "Easy", l'un réalisé à Paris lorsque la chanson était numéro un dans les charts français, et l'autre réalisé à New York lorsqu'elle a été licenciée par Virgin America. Pour être juste, je pense qu'à l'époque, la vidéo ne servait pas vraiment à lancer le titre, mais était néanmoins importante pour faire connaître l'artiste une fois la chanson diffusée sur les radios. DWA a gravité autour du son mis en place principalement dans votre studio d'enregistrement Casablanca : comment était-il équipé et pourquoi lui avoir donné ce nom ? J'ai investi tout l'argent que j'ai gagné avec le projet Savage dans l'installation du studio d'enregistrement, la musique était ma vie et je voulais en vivre. D'autres collègues ont tout dépensé pour la belle vie, les femmes et le champagne, mais moi, je venais d'une famille modeste et je voulais créer un emploi pour l'avenir. Je me suis rendu compte que l'Italo disco avait une date d'expiration et j'ai donc investi l'argent dans un studio. J'ai loué une petite maison blanche dans les collines et je l'ai appelée Casablanca. À l'époque, les studios d'enregistrement coûtaient une fortune : j'ai dépensé 100 millions de lires, ce qui, en 1985/1986, représentait beaucoup. J'avais une table de mixage Trident Series 80B, un enregistreur 24 pistes Sony/MCI, des moniteurs Westlake et beaucoup de claviers Roland, Moog et Korg. Au cours des premières années, certaines publications ont été marquées par des acronymes particuliers, DWA Underground, DWA Italiana, DWA Interface et DWA Infective : pourquoi ? Y avait-il peut-être une intention de créer des branches en fonction du genre de musique abordé ? Oui exactement, je voulais différencier le label en fonction du type de projet. À l'époque, il n'y avait pas de genre de dance spécifique, j'ai donc procédé de temps en temps sur la base d'expériences. Par exemple, j'avais déjà créé le phénomène de la "demential house" à la fin des années 1980 (avec des disques comme "Volare" de Rosario E I Giaguari et "The Party" de Rubix, nda), qui n'était pas destiné à la DWA mais qui a été utile pour rembourser certaines des dettes contractées pour la création du studio. Y avait-il également une raison derrière les différentes déclinaisons graphiques qui se sont succédé au fil du temps, comme le napperon carioca, le napperon floral et le napperon sur fond bleu qui est resté en usage pendant trois ans ? Non, pas de raison particulière. C'est simplement l'image de marque et les couleurs qui se sont adaptées à l'époque. Au cours de ses cinq premières années d'activité, la DWA a également été active sur le front des licences : y a-t-il des pièces importées de l'étranger qui ont trahi vos attentes ? Je n'accordais pas beaucoup d'importance aux licences, je préférais investir dans mes propres projets, mais il arrivait que des morceaux pris à l'étranger soient utiles pour des compilations. Dans le cas de DJ Bobo, par exemple, j'ai écouté la démo au Midem de Cannes et je l'ai prise pour tous les pays où elle était encore gratuite, mais malheureusement le nom "Bobo" lui-même était un peu pénalisant sur certains marchés. Pour CB Milton, en revanche, j'ai rendu service à un partenaire étranger qui publiait mes travaux et avec qui nous avons échangé des projets. Le manque de soutien d'Albertino, qui était probablement au sommet de sa popularité radiophonique entre 1993 et 1994, a-t-il compromis l'issue de licences potentiellement fortes comme celles de DJ Bobo et CB Milton ? La dance à la radio était très importante et pouvait faire décoller un projet si elle le poussait. A la fin des années 80, la station la plus branchée était 105, puis vint Radio DeeJay avec Albertino, mais il n'a jamais soutenu mes morceaux dès leur sortie, pour lui ils étaient trop commerciaux. Peut-être que Dario Usuelli, qui était responsable de la programmation de Via Massena à l'époque, est également à blâmer. DJ Bobo a été un succès dans toute l'Europe et aurait pu l'être ici aussi, mais peut-être, comme je l'ai déjà dit, son nom a-t-il joué contre lui. En France, par exemple, "bobo" signifie "stupide (sic) Au même moment, Ice MC a été rejoint par une danseuse allemande, Jasmine, bien que Simone Jackson d'abord et Alexia ensuite aient chanté sur les morceaux. Pourquoi avez-vous décidé d'utiliser un caractère d'image, à l'instar de ce qui s'est passé avec Corona ? Il était d'usage de jumeler les projets de studio avec des frontmen/frontwomen qui avaient une bonne présence sur scène lors d'apparitions à la télévision et dans les clubs. Simone Jackson commençait déjà sa carrière solo tandis qu'Alessia Aquilani était très bonne en tant que chanteuse mais n'avait pas encore acquis une expérience suffisante en matière de lives. Nous avons donc commencé la promotion avec Jasmine, mais ensuite, lorsque le succès de "Think About The Way" a explosé, nous avons également appelé Alessia pour quelques représentations publiques. Je dois admettre qu'elle était très douée pour se créer une image et apprendre à danser, à tel point que peu après, j'ai décidé de la produire pour un disque solo avec lequel elle est devenue l'Alexia que nous connaissons tous. Pensez-vous que les "frontmen / fromtwomen" qui ont caractérisé l'Italo disco puis l'Eurodance étaient strictement nécessaires ? Selon plus d'une personne, c'est précisément la pratique des "chanteurs fantômes" (pas seulement italiens, pensons au cas frappant des Milli Vanilli produits par l'Allemand Frank Farian) qui a dévalorisé l'image des chanteurs de danse, les faisant passer pour des personnages artificiels dépourvus de tout talent, inculquant et alimentant les préjugés du grand public. Aux débuts de l'Italo disco, il y avait très peu de chanteurs, si bien que les producteurs se voyaient obligés d'utiliser la même voix pour plusieurs projets. Cependant, lorsque ces derniers ont commencé à fonctionner, ils avaient besoin d'un visage pour passer à la télévision et il était donc pratique d'engager des mannequins et des danseurs pour imiter l'artiste. Des chanteurs, comme Silver Pozzoli, ont prêté leur voix à de nombreux projets commercialisés sous différents noms. Dans certains cas, certains ont même compté sur plusieurs images simultanées : en Espagne, par exemple, le modèle tizio a été utilisé tandis qu'en Allemagne, le danseur caio est apparu. Je le reconnais, c'était une pratique quelque peu éhontée. Il y avait cependant très peu de véritables artistes qui chantaient leurs propres chansons, et cela n'a certainement pas joué en faveur de l'Italo disco, mais même à l'étranger, ils ont fait la même chose, tout comme les Milli Vanilli , en se synchronisant sur les lèvres bien sûr, malgré le fait que l'un des deux visages publics du groupe, Rob Pilatus, soit décédé en 1998. De même, d'autres groupes tels que Bad Boys Blue, Joy ou Boney M. ont changé tous ou la plupart de leurs membres d'origine mais continuent à vivre grâce à des concerts avec de nouveaux interprètes plus jeunes. Depuis 1995, vous avez considérablement réduit le nombre de publications et réduit les licences à zéro. Par rapport à de nombreux concurrents en pleine expansion, avez-vous peut-être prévu avec clairvoyance que, pour les labels indépendants, le fait de préserver la petite taille des entreprises se révélerait être un avantage et non un inconvénient après quelques années ? J'ai toujours été plus un "producteur d'artistes" qu'un "producteur de disques", je voulais avoir le plein contrôle de mes projets, donc je n'ai pas délibérément élargi comme d'autres l'ont fait ; au contraire, quand je le pouvais, j'ai passé des accords pour déléguer la promotion et la distribution, comme cela s'est produit avec Sony pour Alexia. Certains de mes collègues se sont retrouvés à devoir sortir beaucoup de titres pour maintenir le chiffre d'affaires et payer les salaires des dizaines d'employés qu'ils avaient embauchés. Comme je l'ai déjà dit dans d'autres interviews (dont une qui s'est terminée dans Decadance Appendix en 2012, nda), je regrette qu'aucune structure indépendante importante n'ait été créée en Italie. Nous aurions été très forts si nous nous étions unis en un seul label et nous aurions sûrement dominé le monde. À plusieurs reprises (d'abord entre 91 et 92, avec l'explosion de l'euro(techno)dance, puis entre 96 et 97 avec la flambée pop-gressive), vous vous êtes concentré sur des genres instrumentaux qui n'appartenaient pas à votre verve créatrice. Était-ce simplement une façon de suivre les tendances actuelles du marché italien du disque ? Quand on est producteur, surtout dans le domaine de la dance, on doit suivre le marché et s'adapter aux sons du moment. J'ai toujours essayé de prendre des repères, mais en les modifiant pour les faire miens. Parfois, j'ai moi-même créé des tendances, comme ce fut le cas en 1993 avec "Take Away The Colour" d'Ice MC, avec lequel j'ai lancé l'Eurodance mélangée au rap-ragga en Europe. Est-ce l'invasion de ce qu'on appelle la Progressive Dream qui a interrompu le succès (italien) de l'eurodance, qui, dans le courant dominant, ne semblait craindre aucun rival ? Oui, mais seulement en Italie. Lorsqu'un succès planétaire comme celui de Robert Miles arrive, il est évident que le monde entier est influencé. Le phénomène Dream, cependant, était plus italien qu'international, et peut-être qu'en Italie, ce sont les myriades de compilations commercialisées sous ce nom qui ont déterminé son succès. Vous avez tenu des propos positifs à l'égard de Media Records par le passé, et il y a quelques années, Bortolotti vous a désigné, dans une interview que j'ai accordée, comme l'un des rares producteurs et artistes capables de générer du succès et de l'argent avec continuité. Bien que ce soit Media Records qui ait distribué la licence de "Please Don't Go" de K.W.S. en Italie, n'avez-vous jamais pensé à transformer cette admiration et ce respect mutuels en une collaboration, à l'instar de ce que vous avez fait en 2004 avec le Time de Giacomo Maiolini pour relancer Ice MC ? En Italie, il n'est pas facile de collaborer car les maisons de disques citées, mais aussi toutes les autres, ont de gros égos et chacun voit les choses à sa façon. Tous mes succès sont nés du fait que je n'ai écouté personne et que j'ai fait ce qui me passait par la tête, à l'instinct, en faisant parfois des erreurs, parfois en créant les succès que l'on connaît. Si j'avais écouté l'opinion des autres, je n'aurais rien fait. J'ai toujours été un "solitaire" dans mes projets. En 1998, par exemple, un discographe de Jive m'a fait écouter une démo de "...Baby One More Time" de Britney Spears et m'a demandé si je voulais collaborer avec eux et avec Disney, mais j'ai refusé parce que je travaillais sur les chansons d'Alexia, qui, en même temps, grandissait et je voulais me consacrer uniquement à elle. Dans une interview réalisée il y a plus de dix ans, vous m'avez dit que l'une des raisons pour lesquelles l'Italie ne figure plus sur la carte internationale de la danse, à quelques exceptions près, est le manque d'humilité. "Dans les années 90, les Français faisaient produire leurs titres par nous, puis ils ont appris à le faire (en nous copiant) et aujourd'hui ils le font mieux parce qu'ils respectent les rôles : il y a le discographe, le producteur, le manager et l'auteur, pas comme nous qui voulons tout faire et mal", avez-vous déclaré, ajoutant que "si nous étions organisés comme les Anglais, les Suédois et les Français, nous serions certainement les meilleurs producteurs du monde parce que nous avons une créativité exagérée, au lieu de cela nous sommes à peine considérés par la grande industrie mondiale du disque et malheureusement aujourd'hui, sans multinationales qui investissent dans la promotion, il est très difficile de se faire remarquer et d'émerger". Pensez-vous que la situation a changé au cours des dix dernières années ? Les labels indépendants ont-ils encore une raison d'exister ? Et quelle est l'importance du scoutisme ? Les Italiens sont des "arrangeurs" dans le sens où ils ont développé l'art et la capacité de se débrouiller. Lorsqu'ils ont un minimum de succès, ils se mettent à leur compte et se gèrent eux-mêmes, même dans les domaines où ils n'ont ni expérience ni talent. Quand un chanteur devient célèbre, il veut tout décider lui-même, il veut être auteur-compositeur, manager, producteur... et donc il perd la fraîcheur qui le distinguait au début. Les chanteurs populaires comme Zucchero, Renato Zero ou Ligabue font de jolis disques mais pas aussi forts qu'au début car ils veulent tout gérer eux-mêmes. Si un producteur est impliqué, ils veulent seulement qu'il fasse ce qu'ils décident. Il n'y a plus de producteurs "avec des couilles", capables de prendre l'artiste par la main et de l'aider à créer un projet autour de lui. Peut-être que ces dernières années, la situation s'est encore aggravée parce que les maisons de disques sont devenues des distributeurs, elles n'ont plus de personnel capable d'aider à développer la partie créative de la musique. Les labels indépendants pourraient jouer un rôle important à cet égard et préparer l'artiste au grand saut, mais malheureusement, les labels en place sont beaucoup trop axés sur les affaires. Il y a beaucoup de bons artistes, mais ils ne trouvent pas de débouchés parce qu'il n'y a plus de vrais recruteurs. Même les multinationales ne s'appuient aujourd'hui que sur des concours. De plus, si vous voulez maintenant signer un artiste inconnu, vous êtes approché par un avocat du secteur prêt à vous présenter un contrat égal à celui que seules les stars avaient auparavant. Aucun producteur indépendant ne pouvait accepter de le signer. Vous aviez l'habitude d'apporter une chanson à Lombardoni de Discomagic et il vous donnait sept cents lires par copie, puis ils passaient à mille, mille et deux, et au fur et à mesure que le succès grandissait, les redevances augmentaient et c'est comme ça que tout le monde gagnait. Je ne payais peut-être pas des redevances très élevées à mes artistes, mais j'investissais beaucoup plus d'argent que les multinationales. Je me souviens, par exemple, de la vidéo de "Uh La La" d'Alexia tournée à Miami, qui a coûté cent millions de lires, entièrement payées par la DWA. Ensuite, les artistes m'ont remercié parce qu'ils sont devenus célèbres et ont gagné beaucoup d'argent grâce aux concerts. Dans les années 90, ce sont les stations de radio qui ont décrété le succès de nombreux disques de danse produits par des labels indépendants. Maintenant, à la place ? Y a-t-il encore quelque chose ou quelqu'un qui réussit à percer ? Comme je l'ai dit au début, le succès pouvait venir des radios, mais aussi des discothèques : parfois, les chaînes n'accédaient à certains titres que lorsqu'ils étaient déjà surjoués par les DJ, et c'était presque toujours le cas pour moi, surtout après les premiers succès. Les disc-jockeys achetaient nos disques à l'aveuglette car ils étaient sûrs de les utiliser pour remplir la salle. Lorsqu'un AOD sortait, il y avait un buzz incroyable, parfois nous imprimions quinze ou vingt mille exemplaires pour un premier tirage. Aujourd'hui je pense que tout est aléatoire, il y a les nouveaux canaux que représentent les réseaux sociaux pour pousser un nom plutôt qu'un autre, mais le grand succès commence toujours avec le public. Ce n'est que plus tard que la radio et la télévision entrent en jeu. Je reste d'avis qu'il n'est pas possible de faire décoller une chanson par le seul biais d'un énorme investissement promotionnel. Il y a des gens très riches qui produisent de la musique en dépensant des fortunes en publicité mais qui n'obtiennent pas le succès qu'ils souhaiteraient. Avec le recul, quelles sont les erreurs que vous ne referiez pas ? Avec la DWA, il n'y a pas de grosses erreurs que je regrette. Je ne veux pas dire par là que je n'ai pas fait d'erreurs, mais cela fait partie du jeu. Peut-être qu'en tant qu'artiste, sous le nom de Savage, j'aurais pu mieux me comporter, mais j'étais très inexpérimenté et sans producteur derrière moi, j'ai mal interprété certaines chansons. A un moment donné, je voulais faire de l'électro pop anglaise mais le public voulait toujours de l'Italo Disco de ma part. Plus de deux décennies plus tard, la DWA a renoué avec la croyance dans les rééditions en s'attaquant à des disques, tels que les albums "The Rhythm Of The Night" de Corona et "Fan Club" d'Alexia, qu'elle n'avait pas commercialisés en format vinyle à l'époque de leur sortie originale. Paradoxalement, y a-t-il plus de gens aujourd'hui qu'hier prêts à acheter certains titres sur un support désormais obsolète pour la musique pop ? Est-ce peut-être la collecte triviale qui réduit le document à un gadget ? Aujourd'hui, le pressage d'un disque vinyle coûte très cher, il s'agit donc d'un marché de niche. J'ai décidé de rééditer les albums qui, à l'origine, n'existaient qu'en CD, pour satisfaire principalement les fans et les collectionneurs. Posséder un disque vinyle procure aujourd'hui une satisfaction que le fichier numérique n'offre pas. S'il comprend des chansons qui ont marqué votre adolescence, il acquiert une valeur supplémentaire et reste dans le temps. Quel a été le chiffre d'affaires le plus élevé de la DWA ? Je préfère passer sous silence le discours économique parce que nous ne pouvions pas utiliser les données pour le comparer à d'autres réalités. La DWA réalisait peu de compilations, qui constituaient le principal vecteur de revenus, et l'essentiel du chiffre d'affaires provenait des licences et des redevances, qui provenaient principalement de l'étranger. Le magazine Musica E Dischi établissait chaque année un classement des labels qui avaient vendu le plus de singles, et je me souviens avec fierté qu'entre 1993 et 1994, DWA était premier devant toutes les majors alors qu'il avait sorti moins de titres qu'elles. En fait, presque tous les disques de mixage que nous avons sortis se sont vendus à plus de trente mille à trente-cinq mille exemplaires. Si l'Italo disco ne s'était pas effondré et n'avait pas été chassé par la house music à la fin des années 80, la DWA aurait-elle quand même vu le jour ? Bien sûr, car je voulais être autonome dans mes choix artistiques et musicaux et je n'aurais pu faire ce que je voulais qu'en créant mon propre label. Et si DWA était né exactement trente ans plus tard, en 2019, quels artistes ou morceaux auriez-vous aimé produire et inclure dans votre catalogue ? Je n'aurais certainement pas produit des artistes qui ne savent pas chanter et utilisent l'autotune, il est facile de voir de qui je parle. J'aime vraiment Måneskin mais je pense qu'ils auraient besoin de chansons plus fortes. J'ai aussi aimé Melancholia de l'avant-dernière édition de X Factor. Sur le plan international, cependant, le plus fort en ce moment pour moi reste The Weeknd.
  4. Cyberbeat est un projet du producteur Stevo Djuric. Un seul single de sorti, intitulé Markaba. Il date de 1995. C'est autrichien.
  5. Basement Jaxx est un groupe de musique électronique britannique créer en 1994 par deux producteur: Simon Ratcliff et Felix Buxton. En 1999, le premier album studio "Remedy" contenant le hit "Red Alert" et plusieurs autres singles. En 2001, deuxième album studio "Rooty" avec plusieurs singles dont "Romeo". En 2003, troisième album studio "Kish Kash" avec plusieurs singles... En 2005, "The Singles" compilation regroupant leurs singles. En 2006, quatrième album studio "Crazy Itch Radio" avec des singles... En 2009 cinquième album studio "Scars" et en 2014 "Junto" le sixième. Je laisse les autres membres en dire plus sur ce groupe que je connais peu, voici le hit que tout le monde connait: Red alert
  6. Petite prod artisanale Italienne avec une fois encore Sandra Chambers derrière le micro , Carl Fath que l'on retrouve dans Ancorah et Cobra fait partie de la team . Sans plus pour moi mais ça existe et il faut que ça se sache Tonight
  7. Axwell

    Indochine

    Amorcé par le single "Memoria", le douzième album du groupe Indochine vient de paraître. Son titre : "Black city parade". Les critiques presse sont plutôt positives, l'album étant décrit comme du 100 % Indochine. D'autres soulignent, à l'inverse, que ce disque ne révèle pas de grande surprise... L'occasion pour le groupe de lancer une nouvelle tournée, et d'accorder une longue interview pour le site Pure Charts. Memoria Source : http://www.chartsinfrance.net/actualite/interview-49490.html#utm_source=viewer&utm_medium=viewer&utm_campaign=INDOCHINE
  8. Un one shot eurodance sorti en Italie fin 94 et dont la seule licence à l'étranger a été quelques mois après en France, chez MCA, seulement en 12", tout comme le pressage original. La pochette française est d'ailleurs bien affreuse, sans même parler du sticker affreux "sélection MCM Dance Club", une émission dans laquelle ce titre n'est jamais passé, faute de clip ! Il aurait pu être dans la compil MCM Dance Club justement sortie chez MCA à la même époque mais même pas, en revanche il figure sur l'inénarrable compil La Brosse à Dance ! Pour revenir au titre en lui-même intitulé I Want You, c'est une prod de Marius Percali, dont j'ai déjà évoqué le travail dans plusieurs topics (Kristaal, Techno City, Confucius, Hi-Liner...) avec le renfort à la prod de Max Perzolla et le vocal d'une chanteuse appelée Elena K pas créditée pour quoi que ce soit d'autre, ça sent donc fortement le pseudo utilisé pour l'occasion par une chanteuse de studio qui aurait, elle, fait autre chose ! 3 mixes à signaler (il existe aussi une version instru), avec des noms qui leur correspondent bien, outre le traditionnel Club Mix : Le Synthmix, qui met donc plus en avant le gimmick synthé Et enfin le piano mix, qui lui aussi porte bien son nom. C'est le seul lien de ce mix sur YT mais c'est largement pitché ci-dessous, normalement ça fait 4'38 alors que là ça fait 4'14.
  9. Leto

    Niagara

    Niagara est un groupe de pop/rock français apparu en 1985 et disparu en 1993/1994. Ce duo nous aura laissé 4 albums et continue plus ou moins d'exister au travers de best of sortant de temps à autre. Bien que pas forcément fan de tous leurs titres, c'est un groupe que je collectionne car il y a quand même des tubes (personnels en tout cas) dont ceux-ci : Soleil d'hiver (1988) J'ai vu (1990) Tchiki boom (1985) : Le titre qui les a lancés, avec Etienne Daho aux chœurs ^^ L'amour à la plage (1986) : Je ne mets que ceux que j'aime le plus, je vous laisse poster vos titres préférés, si ce ne sont pas les mêmes " src="/emoticons/sound_langue.gif"> J'ai mis 8/10 Niagara est sur le site, avec 66 pressages référencés à ce jour ==>
  10. Y.O.M.C., autrement dit Martin Roth, c'est la qualité allemande en matièrre de Trance. Sous cet alias, il débarque en 1997 avec d'excellentes choses sous les bras : - Great Feelings - Space Whale - Fuck Up Your Ears Puis vint l'année 1998... - Analog Feeling - Futuro (en collaboration avec DJ Wag) Je ne cite pas tout, mais pour les autres années, voici encore quelques autres titres : Oasis (2000) Welcome 2 Wonderland (2003) Pump It ! (2004) Je vous laisse compléter, si vous voulez. Que pensez-vous de cet artiste ?
  11. Voila un topic qui n'était pas prévu mais qui ne manque pas d’intérêt puisque c'est la fine équipe de mr Trivellato qui officie , il est donc entouré de mr Varola , Gilardi , Cremonini et Comis ( moins connu ) on leur doit Antares , Quasimodo , Jinny mais aussi U.S.U.R.A entre autres . Je vais commencer par la fin avec Take my Breath Away de 1994 , pour la petite histoire c'est par ce morceau que j'en ai identifié un autre Take my Breath Away - extended mix La transition est toute trouvée avec le suivant : Feeling Now The Music puisque ces 2 titres partagent 1 version All Around the World - original mix , toujours la même année , dommage que sur les couplets la voix tombe . le U.S.U.R.A mix à la superbe intro Allright - experience mix en 1993 qui fleure bon Aladino Le Bif mix L'eclipse remix - plus velu Get on up en 1992 - radio cut Into the Night en 1991
  12. E-Type c'est pour le moment 5 albums (et que c'est surement pas finit) plus 1 double best of . Cette anciens batteur d'un groupe de hard rock vas très vite sapercevoir que sont groupe n'a pas le niveau de ses congénères suédois "Europe". En 1991 il commence dans l'euro : 3 premiers titres vont sortir. J'ai seulement "i'm falling" pas trop mal. Si le succée est certainement présent ailleurs en France les singles "this is the way" "so dem a com" et "set the world of fire " font 1 bide. Par magie du marketing "this is the way" resort en 95 et la c'est le cartons en club "russian lullaby" pareil "set the world of fire" gravit egalement les marches top dance, suivront "megamix" et "so dem a com". Pour des raison obscure aucun extrait du second album "the explorer" ne serat sortit chez nous. En 98 E-type resurgit en france avec les excellent "here i go again" "angel crying" avec 1 trop faible succée, "princess of egypt" acheve l'aventure e-type en france. Mais E-type reste un groupe qui marche assez fort ailleur en europe, ces single se classe generalement tres bien en club, "life" fut le numeros 1 des clubs europeens en 2001. Si un groupe peut encore sauver l'euros c'est bien e-type. Il n'a pas son egale pour trouver des super gimmi, excellent rapper et meme si on peut dire oui il a sortit quelques mauvais titres faut bien se dire que e-type est son propre producteur et c'est bien normal qu'il fasse des chansons plus personel. Je met 9.
  13. Bon, toute la discographie de ce groupe ne rentre pas dans la catégorie "musiques électroniques", donc hésitations pour la partie du forum qui lui convient le mieux... Je viens d'avoir une irrésistible envie d'écouter leur single "Sweet Harmony", je ne sais pas d'où m'est venue cette envie (ce n'est pas un titre que j'ai l'habitude d'écouter de par moi-même), mais c'est juste que c'est une très belle chanson. Une "feel good song," pourrait-on dire, je trouve. Bref, en l'écoutant, je me suis dit que j'allais créer son topic dans la foulée, puisque j'ai vu qu'il n'existait pas encore. Alors, The Beloved est un groupe britannique créé par Jon Marsh en 1983 (marrant, c'est l'année de ma naissance!). Parmi les titres les plus populaires, il faut citer justement Sweet Harmony, mais aussi The Sun Rising, Hello, Your Love Takes Me Higher ou encore Satellite. Pour commencer, voici le clip marquant de Sweet Harmony, qui date de 1993, donc pas du tout de leurs débuts : Remontons maintenant le temps, juste pour donner une idée de leur style en 1986 : A Hundred Words This Means War On est donc d'abord dans le Rock. Je ne passe pas en revue tous leurs singles. Je passe à Loving Feelings (1988), où on voit que le style a déjà évolué : Your Love Takes Me Higher (1989) The Sun Rising (1989) Belle chanson que je vous recommande... Hello (1990) Time After Time (1990) It's Alright Now (1990) En 1993, en plus de Sweet Harmony, on trouve par exemple : Outer Space Girl En 1996, il y a : Satellite On retrouve un clip où la nudité est joliment filmée comme dans celui de Sweet Harmony... Deliver Me Ease The Pressure Je terminerai par With You, qui date de 2000 :
  14. Je vois qu'il n'y avait pas encore de topic sur The Source. Allez, zhou, voilà qui est fait ! The Source, c'est avant tout le morceau You Got The Love, avec la chanteuse Candi Staton en featuring. Celle que je connais bien, c'est la version de 1997 (pas mal présente sur les compiles Dance de l'époque), mais il y a d'abord eu une sortie au tout début des années 90. Il faut même remonter quelques années plus tôt pour avoir l'origine du titre... Petit historique : 1986 You got the love (House Apella) 1989 Candi Staton / Frankie Knuckles - You got the love / Your love Instru provenant de : Jamie Principle - Your love (Original Mix) 1991 You got the love '91 1997 You got the love '97 A part ça, les autres titres de The Source sont : Rock The House (1992) Sanctuary Of Love (1993) Clouds (1997)
  15. Leto

    Renaud

    Renaud est un chanteur qui revient de loin suite à des problèmes de dépression/drogue/alcool. Mais il est toujours là Perso je n'apprécie pas trop ses chansons, surtout à cause de sa façon de chanter je pense, je vous laisse donc en parler si vous aimez Je créé ce topic car il sort une nouvelle intégrale qui, au passage, ne me semble pas du tout intégrale mais bon... Voici le contenu du mail promo : Le visuel : Ce genre de "livre" a été utilisé récemment pour Jacques Brel ou Dalida (et sans doute d'autres). C'est donc le nouveau format "à la mode" pour les intégrales. C'est moins encombrant que les trucs parfois originaux mais pas pratiques du tout (formes variées) et c'est sans doute relativement économique à fabriquer, d'autant plus si le format est plus ou moins standardisé.
  16. Je pense qu'il faudrait séparer la carrière solo de celle de Bass Bumpers... D'autant plus qu'il y a déjà eu qq égarement dans le topic de Bass Bumpers Il commence a y avoir pas mal de petites choses, surtout ces dernières années, créditée en featuring ou pas... Go ! Je ne parle pas du featuring sur Bass Bumpers ni Vamoz 1991 La Face : right or wrong (feat Felicia crédité au dos) RIEN 1991 Sydney Fresh : Drive me crazy 1991 Sydney Fresh : just take me higher 1992 Any Questions (feat Felicia crédité au dos) : living on a fantasy 1993 Amanda Lear (feat Felicia crédité au dos) : Fantasy 1994 Dance Aid : do they know it's christmas 1996 Olli's Club Feat Felicia : Partynight 1997 Freak Brothers Feat Felicia - Party Night 1997 : Modern Art : no more pain 1998 B.M.R. Feat. Felicia - Check It Out! 2002 Gardeweg : all i want 2017 K.K.Project Feat Felicia Uwaje : Dont Call Me Baby 2017 K.K. Project Feat. Felicia Uwaje - Mary Had A Little Boy, une reprise de Snap! 2018 Felicia Uwaje : Strike It Up, une reprise de Black Box 2018 Felicia Uwaje : A Deeper Love, on en a déjà causé dans le topic Bass Bumpers 2019 Tom Civic Feat. Felicia Uwaje - Come Alive, le dernier truc, house avec son petit piano qui va plaire
  17. Jocelyn Brown est une "diva" américaine, figure incontournable de la House des années '90 et même encore aujourd'hui. Sa voix est facilement identifiable ^^ Même si elle a eu une carrière solo, c'est principalement grâce aux featuring qu'elle est omniprésente, sans cesse demandée pour chanter tel ou tel titre ! Elle a notamment chanté pour : - Incognito - Todd Terry (avec Martha Wash, au passage) - Nuyoricain Soul - Jestofunk - Ministers De-LaFunk - Cassius Faites-vous plaisir pour citer ses titres et featuring, ce ne sont pas les exemples qui manquent En voici quelques-uns : Somebody else's guy (1984, ce qui semble être son plus grand tube solo) Always there (1991, avec Incognito) Keep on jumpin' (1996, avec Todd Terry et Martha Wash) Ce titre sera d'ailleurs magistralement remixé par les Rhythm Masters Something goin' on (1996, avec Todd Terry et Martha Wash) Une fois n'est pas coutume je mets un live, pour le plaisir de voir les 2 divas ^^ It's alright, I feel it! (1997, avec Nuyorican Soul) I am the black gold of the sun (1997, avec Nuyorican Soul) I believe (2002, avec Ministers De-La-Funk) I'm a woman (2002, avec Cassius)
  18. Ygrek

    Corbier

    Corbier vient de mourir à 73 ans Un gros morceau d'enfance qui s'en va Outre ses chansons chez Dorothée, qui lui ont valu sa notoriété, il était aussi connu pour ses chansons un peu plus acides, et faisait régulièrement le Festival d'Avignon avec Le nez de Dorothée
  19. orion8k

    Boris

    Je relance le sujet mythique de danceur 1, qui etait toujour absent de danceur 2. Je vais etre assez raide sur les debut de Boris avec pleasur game car je connait tres mal ce groupe, mais beaucoup de fan ici se feront un plaisir d'en parler. Disont que boris demarre sa carriere de chanteur avec le groupe pleasur game, ont le retrouve quelques temps plus tard sur une radio du nord de la france (la aussi je pense que des precisions seront faite) et c'est la que le personnage de boris vas naitre, eneffet notre amis phillipe vas avoir l'idée un beau jour d'inventer une histoire delirante sur un personnage quivit dans sont monde avec en fond sonore de la musique trance, le delire deviendrat habituelle et boris ferat du chemins. En effet fin 95 sort un ovnis le single "soirée disco" qui vas connaitre un enorme succée, suivrat quelques temp plus tard le single "miss camping" qui realise aussi de bonne vente, 1996 c'est l'année de la dream et le tres bon "la lettre" serat dans ce style. 3 singles 1 album boris devient une figure connut des hit machine et autre emission de varieter. L'album (soirée disco) meme si il recele d'histoire tout aussi delirante fut une deception pour moi, cette album doit suivre le style des histoire qu'il raconter a la radio, c'est un album plutot trance. 1997 le second albums sort (cyber boris) avec comme locomotive le single " a toutes berzingues" et meme si ce single et de bonne facture, l'effet est passer ce serat un echec tout comme ce second album. On retrouve Boris 2 ans plus tard avec dj xam 3 singles et 1 album sortiront de cette collaboration plus techno mais sans nouvelle aventure de boris. Meme avec le certain succée de dj xam aucun 3eme album de boris verat le jour (pourtant a l'epoque j'y croyait). Boris ne reviendra qu'en 2004 alors qu'il était membre de Danceur 1 le single "poupin up" sortira sans aucun succès.
  20. J'ai découvert ce groupe grâce à mes parents, et depuis quelques temps, je suis devenu un peu fan. Tears For Fears est un groupe britannique associé à la New Wavec, fondé à Bath en Angleterre au début des années 80. Les deux membres du groupe sont Roland Orzabal et Curt Smith. En 2011, il fêtait leur trente ans d'existence, ils ont vendu plus de 25 millions d'albums à travers le monde. La période de succès la plus important est défini entre 1983 et 1993. A savoir qu'après quelques problèmes entre les deux amis, Curt Smith quitta le groupe en 1991 puis il reviendra dans le groupe en 2000. Ils ont sortie à ce jour 6 albums studios, le nouveau est prévu en 2014. Les six albums: -The Hurting (1983) singles principaux: Mad World, Pale Shelter... -Songs From The Big Chair (1985) singles principaux: Shout et Everybody Wants to rules the world -The Seeds of Love (1989) singles principaux: Womain in Chains et Sowing the seeds of love -Elemental (1993) singles principaux: Elemental... -Raoul and the Kings of Spain (1995) singles principaux: Secrets... -Everybody Loves a Happy Ending (2004) single: Everybody Loves a Happy Ending Voici donc quelques tubes en vidéo: Shout: Everybody Wants To Rules The World: Mad World: http://www.youtube.com/watch?v=SFsHSHE-iJQWoma Woman In Chains: Sowing The Seeds Of Love: Everybody Loves a Happy Ending: Vous aimez ce groupe?
  21. Un one shot Eurodance qui vient d'Italie, résultat de la collaboration entre Mephisto et le Suisse Sascha Corti : New Planet - Feel The Passion. Efficace et non dénué d'humour (les bruits de ronflements...). Cela date de 1994.
  22. De son vrai nom Frank Tomiczek, DJ Hooligan, également connu sous le nom de Da Hool, est un artiste allemand qui a réalisé de nombreux titres Trance, Techno et surtout Hard Trance. Il démarra sa carrière musicale en 1992 avec, notamment, : It's A Dream Song (1992) Ce titre Trance aux magnifiques notes de piano fait partie des premières productions du style. Il fait même limite précurseur à la Dream. Il a eu son petit succès en Belgique lors de l'automne 92. Ensuite, il se lança dans la scène Hardcore avec : B.O.T.T.R.O.P. (1992) Au printemps 93, B.O.T.T.R.O.P fut une des productions Hardcore les plus connues dans le style, principalement avec sa nappe acide et son rythme "jungle" rapide qui influençèrent méchamment la scène Hardcore, Gabber et Hardcore. Il se lança également dans la Hard Trance avec quelques unes des premières productions du genre : Space Girl (1992) Imagination Of House (1993) Non, ce n'est pas de la House. Le titre peut être trompeur. Suite au message suivant.
  23. Simstim est le nom d'un duo formé de Marcel van Os (alias DJ Sim) et Jurgen Brinkman, actif dans la scène Hardcore néerlandaise vers 1993-1994. Acid Drift Un morceau Gabber aux sonorités acid, comme l'indique son titre, et qui utilise un sample bien connu des amateurs d'Eurodance, puisqu'on le retrouve aussi dans Dum Da Dum de Melodie MC. Dig It ! Du Gabber avec voix pitchée. One 100 & Two 100 Avec du son bien "crade". Présente notamment sur le Thunderdome V. Sur la même compilation, on trouvait aussi : For The People ... Ainsi que : Basic Loudness Musical Box Ambiance sombre avec bruits de portes qui grincent etc. On le retrouve sur le Thunderdome VI. Wonderfull World Qu'on retrouve sur le Thunderdome VII. Hi-Fi Overleeft Come On !!!
  24. Nicolas

    Hélène

    Elle s'appelle Hélène et ce sujet lui sera consacré ! Commençons avec l'actualité de sa page Facebook : Source : https://www.facebook.com/Helene.Officiel
  25. Apparemment rien là dessus... Je m'aperçois tardivement que c'est du Robyx Le Wareband a sauté en France et le 1e titre est n'est sorti que sous Tad Robinson... Le premier titre a eu son petit succès rapide en club reste nettement meilleur que son remix et le 2e titre... On a également parlé qq part du sample "in my mind", je ne me rappelle pas si c'est la source mais surement pas vu que c'est du Robyx ) Party Children (1990) Party children (world remix) Better days (1992)
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