Aller au contenu

Thomas Azier


Axwell

Messages recommandés

 

LFW_Thomas_Azier.png

 

 

 

Thomas Azier est un jeune artiste berlinois, auteur de deux EP, "Hylas 001" et "Hylas 002", avant un premier album à sortir cette année sous son propre label.

Son univers : une pop électro plutôt sombre, entre envolées lyriques et plages synthétiques.

2 titres ont bénéficié d'un clip, dont le dernier en date, le très esthétique "Angelene".

 

 

Thomas_Azier_0019054.jpg

 

1. Prelude

2. Red eyes

3. Metropolitan tribe

4. How to disappear

 

 

 

 

Thomas_Azier_0019055.jpg

 

1. Fire arrow

2. Angelene

3. Shade of black

 

 

 

Pour le connaître un peu mieux, voici une interview réalisée par le site My Band Market :

Citation

Thomas Azier, cest un peu LA révélation du moment. Avec ses instrumentaux épiques et sa voix non moins impressionnante, le jeune homme nous fait voyager, voire nous déstabilise à chaque mesure.

Après un très beau premier EP, « Hylas 001 » , qui contenait notamment le superbe single « Red Eyes » , Thomas revient en force avec « Hylas 002 ».

Conquis par ce nouvel EP, My Band News est parti à sa rencontre, le temps dune interview

Peux-tu nous en dire plus sur toi, ton parcours?

Avant denregistrer mon 1er EP, je faisais principalement de la production pour dautres personnes. Jai donc passé beaucoup de temps enfermé dans ma chambre à trouver les bonnes notes. Voilà, à peu près ce que jai fait ces 5 dernières années. Avant ça, jai beaucoup voyagé, à la recherche de la ville où je voulais réellement vivre, car je ne la trouvais pas dans mon pays dorigine, les Pays-Bas.

Beaucoup de personnes, moi la première, ont découvert ta musique par lintermédiaire de Woodkid ! Comment vous êtes-vous rencontrés ?

Il ma appellé il y a quelques mois, pendant que je répétais, car il aimait un de mes morceaux. Puis il en a parlé autour de lui. A partir de cet appel, nous sommes restés en contact, puis jai rencontré ses amis comme Guillaume des Shoes, on est tous devenu de très bons amis. Jai pu avoir la chance de jouer à LOlympia avec Les Shoes, ça a été vraiment une très belle expérience. Et récemment au Grand Rex Club, jai joué à son after-show.

Plusieurs médias te considèrent comme la voix du moment ! Es-tu influencé par de grands chanteurs ?

Cest peu être surprenant, mais pas vraiment. Cependant, jaime les voix graves et sombres, je suis un très grand fan dElvis. Ces dernières années jai beaucoup écouté les productions de Prince, jaime beaucoup son timbre de voix. Maintenant, je découvre des voix plus basses, sombres et lentes. Je ne saurais pas lexpliqué, peut être parce que je vieillis.

Ta façon de chanter et ce trémolo à la fin de chaque phrase me font penser à des chanteurs lyriques du type The Irrepressibles, Antony & The Johnson. Tu tinspires, tout comme eux, dune mélancolie particulière ?

Oui tout à fait ! Cela vient sûrement de lheure à laquelle jécris jaime écrire pendant la nuit, jaime jouer pendant la nuit, vraiment très tard. Je pense que cela vient du fait que quand jai commencé à me produire, je trouvais les dates tout seul, et souvent je faisais des concerts à 5h ou 6h du matin entre deux sets de DJ donc jécrivais pendant la nuit, avant de monter sur scène. Pour moi, cest très important de lire ce que je chante. Je me focalise sur un texte à la fois, lorsque jécris, tout doit avoir une réelle signification, et je pense que cest tout cela qui se ressent dans mes textes.

Tes productions sont quasiment parfaites, cest comme si tout était à sa place, les mixages sont épiques Quel est ton secret ? Un grand producteur dans ton ombre ?

Wow Merci ! ça fait très plaisir dentendre ça !

Je dois admettre que personne na cru en moi en tant que producteur. Jai commencé la musique il y a 5 ans maintenant, jai fait beaucoup de rencontres, mais personne ne comprenait mon univers. Les producteurs disaient que mes productions étaient mauvaises, et cela ma démotivé parfois. Mais jai cru en moi, et après tout, je me suis dis que je pouvais faire mes productions tout seul, même si tout le monde pensait que javais besoin dun producteur. Maintenant des personnes viennent me voir en me disait « Bonjour, jaimerais produire tes morceaux » et je leurs réponds « Merci, mais je les produis tout seul ! »

En effet, tout ce que je lis dans les médias en ce moment sur le nouvel EP est sympa, et ça me donne confiance en moi. ça me permet aussi de voir la croissance, lévolution entre le 1er et le 2ème EP. Pour moi, ce 2ème EP était vraiment une grosse étape, une étape décisive avant la sortie de lalbum.

Tu gères donc toute la production de A à Z ?

Oui, je bosse avec un sound designer, Robin, il joue dans mon groupe aussi, cest vraiment quelquun de génial ! Il a travaillé sur le deuxième EP. Sur les 2 EP, jai produit la plupart des tracks, on a collaboré sur le titre du « Fire Arrows » présent sur le deuxième EP. Ce mec est un génie, on a tout enregistré dans une vieille petite fabrique qui était à la base un endroit où lon fabriquait des cloches pour les églises. Un endroit barré au milieu de nulle part. Il y avait une atmosphère, et des ondes spéciales. Tous les sons que vous entendez sur lEP sont vrais, il ny a eu aucune modification sur ordinateur.

Tu vis à Berlin alors que tu es néerlandais. Pourquoi ? Cest une ville qui tattire artistiquement parlant ?

A la base, jai déménagé à Berlin car la vie nest pas chère, je vis dans une très bel endroit pour 200 par mois. Mais il est vrai que cette ville ouvre beaucoup de portes aux artistes. Il y a 4 ans, je navais pas dagenda, je pouvais faire tout ce que je voulais. Bien sûr, jai dû me trouver un petit boulot pour vivre, mais tu nas pas besoin de bosser 6 jours sur 7, voire 7 jours/7 comme dans certaines villes pour pouvoir vivre. Donc, javais du temps pour faire de la musique.

De quels groupes te sens-tu le plus proche en ce moment ?

Je ne saurais pas te le dire jécoute beaucoup de choses qui ne sont pas proches de ma musique. Jécoute pas mal de Hip Hop, de Rn'B. Ça peut paraître bizarre, mais jadore écouter ce genre de musique

Un album à retenir depuis début 2012 ?

Jaime vraiment lalbum de Nicki & The Dove, « Instinct » ! Je nai pas beaucoup écouté de musique cette année, car quand tu es en studio toute la journée, et que tu rentres chez toi, tu ne veux plus du tout écouter de musique.

Quels sont tes projets pour la suite ?

Rien nest vraiment prévu pour le moment, je veux vraiment finir lalbum, car je suis déjà en train de réfléchir à mon 2ème album. Mais chaque chose en son temps ! Jai bossé sur tous ces titres depuis 5 ans maintenant, et je ressens vraiment le besoin daller de lavant, de bosser sur autre chose, davoir des retours. Car être assis en studio, cest bien, mais tu nas pas de retour du public. Jaime vraiment le fait de voyager et faire quelques dates en ce moment.

Tout est nouveau pour moi, même le fait que tu sois là, assise à me poser des questions, cest spécial pour moi ! Personne nétait vraiment intéressé par mon travail avant. Tout ça est cool, et effrayant en même temps, mais je suis très excité !

Source : http://mybandmarket.com/blog/2012/11/rencontre-avec-thomas-azier-interview/

 

 

et ici, une interview filmée pour BETC (sous-titres en français) :

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il est rare que je sois ultra méga enthousiaste à la première écoute d'un single... Mais le nouveau titre de Thomas Azier, ça le fait vraiment pour moi ! :D

Pas encore de clip, mais ça ne saurait tarder. Pas de lien Youtube non plus pour l'instant (le titre a été révélé aujourd'hui), mais on peut l'écouter sur Deezer et MusicMe.

http://www.musicme.com/#/Thomas-Azier/albums/Ghostcity-0602537447619.html

http://www.deezer.com/fr/album/6654436

Franchement, j'adore ! :D

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites


 

Thomas_Azier_0019052.jpg

L'album de Thomas Azier "Hylas" sortira officiellement demain (il était déjà disponible hier dans certaines Fnac).

 

"Le premier album du berlinois Thomas Azier : un son électro-pop à la fois épique et futuriste. Venu tout droit de Berlin et révélé par ses prestations en première partie de Stromae et Woodkid, Thomas Azier trace les contours d’une musique électro-pop intransigeante, sombre et rêveuse. A travers son premier album Hylas, cet artiste d’origine hollandaise raconte l’histoire de son arrivée à Berlin, la transformation permanente de sa ville d’adoption, son développement artistique, mais aussi sa propre « métamorphose ». Il y révèle également une vision de la pop futuriste et singulière, entre sons analogiques, rythmes tempétueux et voix dramatiques, comme on peut l’entendre sur les singles « Red Eyes », « Angelene » ou encore « Ghostcity »."

 

1. Hylas

2. Ghostcity

3. Verwandlung

4. Rukeli's last dance

5. Red eyes

6. Angelene

7. How to disappear

8. Futuresound

9. Shadow of the sun

10. Yearn yearn

11. Golden wave

12. Sirens of the citylight

 

 

Petite interview de 2013 pour resituer l'artiste...

 

Citation
Hollandais émigré à Berlin, ce jeune homme bourré de talent assure les premières parties de Stromae après avoir ouvert pour la tournée de Woodkid. Rencontre avec l’un des héros annoncés de 2014.

On t’a découvert en France en première partie de Woodkid, tu lui dois beaucoup ?
Je lui dois énormément, c’est tout ce que j’ai à dire. Il m’a mis le pied à l’étrier, et il m’a fait comprendre qu’il fallait se battre pour y arriver, qu’il fallait être attentif à tous les aspects : la musique, l’image.

Comment as-tu rencontré Stromae ?
C’est notre directeur artistique qui nous a présenté. Tous les deux nous avons ce point de commun de nous intéresser à toutes sortes de musiques, d’être très éclectiques. Paul avait besoin d’inspiration pour finir son album, j’étais en train de finir le mien. Il avait besoin d’un break et il est venu à Berlin. On ne se connaissait pas mais le feeling a été immédiat entre nous. Pourtant c’était compliqué pour moi comme pour lui, nous ne sommes pas le genre d’artistes à multiplier les collaborations, nous sommes plutôt des créateurs solitaires. Là tout a été très vite, Paul est venu dans mon studio, une vieille usine que j’ai retapée, où il n’y a même pas de toilettes – il faut aller à la station service en face (rires). Au bout de deux heures on avait presque déjà écrit une chanson.

Votre point commun, c’est aussi d’avoir un style très personnel alors que vos influences sont multiples.
C’est du temps. Il faut attendre. J’ai l’impression de travailler sur mon album et sur ma musique en général depuis des années. Il m’a fallu venir vivre à Berlin, apprendre l’Allemand, améliorer mon anglais, écrire des chansons, lire, voir des films, écrire ma propre histoire. J’ai le sentiment aujourd’hui d’être un curateur, d’avoir pris le temps d’imaginer un univers qui serait celui de Thomas Azier. Aujourd’hui, le plus dur pour un artiste et de trouver son cadre, un cadre original. Les gens dont j’apprécie la musique aujourd’hui, que ce soit Woodkid ou Stromae, ont ceci de commun qu’ils ont fixé un cadre très précis, autour de leur musique, autour de leur image. J’ai en magasin presque deux cents échantillons que je peux utiliser sur des morceaux, et je sais que chacun d’entre eux sonne comme du Thomas Azier. C’est un travail de longue haleine, mais j’ai aujourd’hui le sentiment que tout cela porte ses fruits.

Ton son est d’une grande pureté, comment t’y prends-tu ?
J’ai toujours voulu être un grand producteur. Mais je n’avais aucune notion de production, j’étais comme un chien conduisant un avion. Quand j’ai rencontré Stromae, j’ai vu qu’il était comme moi, qu’il avait inventé sa propre philosophie de production. J’utilise la reverb de l’usine dans laquelle j’ai fait mon studio, c’est un son que je trouve unique, il me rappelle celui de Low de David Bowie produit par Brian Eno. J’ai commencé à travailler avec mon ordinateur, avec des logiciels

Que savais-tu de Berlin avant de t’y installer ?
Rien. J’avais très peu de culture musicale. J’ai tout découvert sur YouTube. Un type comme D’Angelo m’influence à fond, quand je l’ai découvert je suis devenu dingue. Idem pour Kraftwerk. Depeche Mode période 101, m’a rendu fou. C’est mon tourneur Clotaire qui me l’a mis entre les mains.

Tu te définis comme un songwriter, un producteur, les deux ?
Aujourd’hui tu dois être les deux. Je ne suis pas encore le meilleur producteur au monde, mais j’ai envie de progresser. Par contre je sais écrire des chansons, ça j’en suis convaincu. Je suis bon en mélodie, bon en harmonies. C’est pour ça que j’aime la France. Les Allemands n’ont pas ça (rires).

Te considères-tu comme un romantique ?
Non, pas vraiment, mais je m’intéresse à ce courant : j’essaie de lire Thomas Mann ou Hölderlin dans le texte, mais c’est encore un peu dur pour moi.

Qui sont les artistes de ta génération qui t’interpellent ?
Lorde, elle va cartonner, j’aime beaucoup ce qu’elle fait.

Ton album est très attendu pour 2014, il va ressembler à quoi ?
Il est prêt, j’ai tellement hâte qu’il sorte même si j’adore le format EP. Mais un album est un tel achèvement, j’ai constaté ça pour Stromae et Woodkid. Un album te donne un autre statut.

source : http://www.lesinrocks.com/2013/12/09/musique/thomas-azier-stromae-feeling-ete-immediat-11451611/

 

 

Et les clips des titres déjà issus de l'album...

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

16806669_1353694544705032_30965445122563766_n.jpg

Thomas Azier sera de retour le 12 mai avec un nouvel album, "Rouge", qu'il a travaillé avec Dan Levy, du duo The Dø,

 

Citation

Epaulé par Dan Levy, l’artificier de The Dø, le Hollandais nomade va frapper très fort en 2017 avec un nouvel album écrasant de classe. On leur a rendu visite en studio.

On se souviendra longtemps de notre première rencontre avec Thomas Azier. C’était au Rex, à Paris, le 26 septembre 2012, juste après le tout premier concert que Woodkid venait de donner, au Grand Rex. Le Hollandais basé à Berlin nous avait immédiatement scotché : sa voix, sa musique, sa classe. L’enfant de bois nous avait mis sur la piste d’un des grands architectes de la musique de demain. Quelques mois plus tard, c’est Stromae qui nous racontait, radieux, qu’il avait bossé sur son album avec “un Hollandais hypercool basé à Berlin”. Comprenez Azier.


Entre Kanye West et Klaus Nomi
 

Puis en 2014, c’est dans le quartier de Lichtenberg, à Berlin donc, qu’Azier nous avait ouvert son univers, à quelques mois de la sortie de son tout premier album, Hylas. Une grande usine désaffectée comme la capitale allemande en compte tant, dans laquelle il avait installé son studio et enregistré ses chansons, en s’appuyant sur la structure du lieu : espace hallucinant et idéal pour enregistrer des voix, vieilles machines en fer utilisées comme percussions de fortune.

Le résultat nous avait laissés sur les fesses : un disque fier, puissant, au torse bombé, qui montrait à quel point il avait envie d’en découdre avec la terre entière, quelque part entre Kanye West et Klaus Nomi. S’ensuivit une grande tournée, qui mena Azier dans le monde entier, pour le déposer à Paris, où il a désormais installé son barda.

En 2016, c’est cette fois du côté de la Normandie qu’on l’a retrouvé, au sud d’Evreux, dans la chouette maison-studio imaginée par Dan Levy de The Dø. Ses nouvelles chansons en poche, Azier avait décidé d’aller enregistrer son disque avec celui à qui l’on doit les belles réussites de Jeanne Added ou encore Las Aves. Lunettes de soleil sur les yeux, les deux larrons nous attendaient derrière le porche et, après un rapide tour du propriétaire, nous propulsaient devant leurs incroyables consoles pour nous faire découvrir le fruit de leur travail.
 

Ce fut un coup au cœur. Au contact de Levy, c’est comme si Azier avait décidé de baisser la garde, de délaisser la morgue que l’on pouvait déceler sur Hylas pour se livrer totalement. Il y avait d’abord Concubine, chanson d’amour à pulvériser les plus durs d’entre nous, jouée profil bas au piano et chantée d’une voix tout simplement ahurissante, évoquant une sorte de Rufus Wainwright cryogénisé.

 

Respect et envie
 

Ensuite, c’est Winners qui nous foutait définitivement les larmes aux yeux, puis Berlin, chanson d’adieu à la ville où Azier s’est construit. On écoutait enfin Crucify et Call, pour se convaincre définitivement de la trajectoire glorieuse qui allait être celle d’Azier en 2017.
 

Assis dans un coin de la pièce, dans une tenue estivale, Dan Levy tripotait ses petites moustaches, puis nous proposait d’aller prendre un repas au milieu du jardin. Assis l’un à côté de l’autre, Azier et Levy nous racontaient alors l’aventure de ce dernier album. Une collaboration pleine de respect et d’envie, pour ces deux dingues de musique qui s’étaient trouvés. “Dan a su apprivoiser ma musique. Il m’a donné les conseils que j’avais toujours cherchés. J’ai parfois tendance à viser la performance, à en rajouter. Dans ces cas-là, il me posait la main sur l’épaule et me disait qu’on pouvait faire plus simple, trouver un chemin plus direct. Il a magnifié mes chansons.”

 

Doux et combatif
 

Levy sourit et enchaîne. “Thomas est un incroyable bosseur. Je le voyais partir dans sa chambre le soir et sa lumière restait allumée toute la nuit. Au matin, il arrivait avec de nouvelles idées, avec de nouveaux titres. On allait direct en studio pour coucher ça et ensuite on travaillait pour aller jusqu’à l’os”, explique le grand artificier de The Dø.
 

Azier conclut : “J’avais besoin que quelqu’un mette le nez dans ma musique. Les artistes ont souvent beaucoup d’ego et ils ont peur de s’ouvrir. Dan a su trouver les mots, je lui ai donné ma confiance et il m’a donné la sienne. Je me souviens de cette période de travail comme d’une sorte de rêve. D’ailleurs, j’avais parfois la sensation d’avoir imaginé des chansons en dormant.”

En quelques mois, les deux ont réalisé ce qui sera l’un des coups de la musique à venir. Un disque aussi doux que combatif, qui prendra aux tripes, comme l’a prouvé le premier morceau envoyé en éclaireur en novembre dernier, Talk to Me, qui montre un Thomas Azier déambulant chez lui ou dans les rues de Paris, frappé de spleen et d’une étrange danse de Saint-Guy. On ne sait pas encore de quoi 2017 sera fait, mais une chose est sûre, le deuxième album de Thomas Azier sera l’un de nos disques compagnons. Azy, vote Azier.

Source : http://www.lesinrocks.com/2017/01/03/musique/thomas-azier-inoxydable-11895512/


Trois extraits ont déjà été dévoilés, dont "Gold" qui a tout d'un tube !

Gold
 



Talk to me
 



Winners
 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...